Catégorie : À la maison

  • Muguet et plantes toxiques au printemps : attention au risque d’ingestion !

    Muguet et plantes toxiques au printemps : attention au risque d’ingestion !

    1 Prévenir la consommation de plantes toxiques

    Avant de vous lancer dans l’achat d’une plante, prenez conseil auprès d’un professionnel en jardinerie pour connaître les plantes qui sont risquées pour vos enfants ou vos animaux domestiques. Cela vous permettra de faire des choix raisonnés !

    Autre mesure : les jeunes enfants ont tendance à mettre à la bouche tout ce qui leur tombe sous la main ! Alors, à l’intérieur de la maison comme dans votre jardin, veillez à ne pas avoir de plantes toxiques qui seraient dangereuses pour eux. Pensez, de manière générale, à mettre hors de leur portée les plantes d’intérieur en les surélevant sur un meuble, par exemple. En extérieur, gardez un œil sur vos enfants et apprenez-leur, quitte à leur répéter, à ne pas goûter ni même toucher les plantes. La répétition a des vertus pédagogiques !

     

    Muguet et plantes toxiques au printemps : attention au risque d’ingestion !

    Muguet et plantes toxiques au printemps : attention au risque d’ingestion !

    Le saviez-vous ?

    La confusion de plantes provoque des cas d’intoxications graves.

    Chaque année, on recense environ 250 cas d’intoxications aux plantes d’après l’Agence nationale de sécurité sanitaire. Et en seulement six ans (entre 2012 et 2018), 1 872 cas de confusion entre des plantes toxiques et comestibles ont été recensés(1).

    2 Repérer les signes d’intoxication aux plantes

    Que ce soient ses baies, ses feuilles ou ses tiges, certaines plantes contiennent des substances toxiques dont l’ingestion en grande quantité nécessite une prise en charge en hôpital(2). Une intoxication aux plantes provoque généralement des douleurs abdominales, des nausées, des vomissements et des diarrhées. Certaines plantes, comme le vératre (confondu avec la gentiane) ou la belladone (confondue avec le raisin), causent des symptômes plus graves : troubles cardiaques ou neurologiques. Si rien n’est fait, l’intoxication peut mener au décès.

     

    Muguet et plantes toxiques au printemps : attention au risque d’ingestion !

     

    Des plantes toxiques pour votre animal

    3 Que faire en cas d’intoxication ?

    En cas de contact cutané : retirez les vêtements touchés et lavez la peau avec du savon et de l’eau tiède pendant 15 minutes.

    En cas de contact oculaire : rincez l’œil avec de l’eau tiède pendant 15 minutes.

    En cas d’ingestion : retirez soigneusement le reste de la plante de la bouche de votre enfant ou de votre animal, puis donnez-lui un peu d’eau à boire.

    Quelle que soit l’intoxication par plante, contactez le centre antipoison de votre ville afin de connaître les mesures à prendre. Vous pouvez aussi consulter directement votre médecin traitant ou contacter votre vétérinaire en indiquant le nom de la plante en cause. En cas d’urgence vitale (coma ou détresse respiratoire), appelez immédiatement le 15.

     

    Muguet et plantes toxiques au printemps : attention au risque d’ingestion !

     

    Étiquettes et photos

    Conservez toutes les étiquettes des plantes achetées en jardinerie. Ainsi, en cas d’ingestion, vous saurez communiquer le nom de la plante aux professionnels de santé. Et si vous partez à la cueillette, pensez à prendre en photo les plantes récoltées de sorte à pouvoir les montrer aux professionnels de santé en cas d’intoxication !

    L’Essentiel de l’article

    • Tenez les plantes toxiques hors de portée des enfants et des animaux domestiques.
    • Douleurs abdominales, nausées, vomissements et diarrhées sont les principaux symptômes d’une intoxication aux plantes.
    • En cas d’intoxication, appelez le 15 ou un centre antipoison.

    (1) Agence nationale de sécurité sanitaire (ANES)
    (2) Centre antipoison belge, Muguet (Convallara majalis)
    * Centre Antipoison Animal et Environnemental de l’Ouest, Plantes toxiques
  • Vacances : ces choses à savoir avant d’échanger votre maison cet été

    Vacances : ces choses à savoir avant d’échanger votre maison cet été

    À la mer, à la montagne, à l’étranger, aux quatre coins de l’Hexagone… Partir en vacances a un coût et le logement pèse lourd sur la note (30 %(1) du budget total). Le concept de l’échange de maison peut permettre de faire des économies.


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    Préférez une plateforme reconnue

    Pour ne pas tomber dans le piège d’une arnaque, faites appel à une plateforme reconnue avec un système de notation des participants. Plusieurs sites spécialisés comme HomeExchange, Lovehomeswap ou encore Echangersamaison, mettent en relation les candidats à l’échange de maison. Ils collectent et publient les offres des membres dans le monde entier contre une adhésion annuelle de 120 €(2) en moyenne.

    Simples intermédiaires, ils encadrent tout de même l’échange en proposant notamment des contrats type en plusieurs langues et la possibilité de noter les membres. N’hésitez pas à regarder plus en détail les conditions de chaque plateforme pour choisir celle qui vous rassure le plus.


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    Faites connaissance avec vos futurs hôtes

    Prenez le temps de vérifier l’identité de vos hôtes, de lire leur fiche de présentation sur la plateforme d’échange, et d’échanger avec eux par mail ou idéalement par téléphone ou en visio pour faire plus ample connaissance. Ces échanges permettront de vérifier que vous êtes bien sur la même longueur d’onde. Ils seront aussi l’occasion d’aborder la question de la propreté, des plantes à arroser, des animaux à garder ou encore le fonctionnement de l’électroménager. Une fois les choses mises au clair, pensez à signer un contrat d’échange, à télécharger sur le site de la plateforme. Ce document indiquera les dates de séjour, de la remise des clés, etc.


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    Prévenez votre voisinage et vos proches

    Confier les clés de sa maison à des inconnus n’est pas une démarche naturelle, surtout quand c’est la première fois que l’on se lance dans l’aventure. Si possible, pensez à avertir vos voisins ou des proches de votre projet d’échange. Ils pourront être attentifs à ces « invités » pour vous rassurer, ou encore leur venir en aide en cas de besoin.


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    Protéger vos biens

    Avant de partir, pensez à mettre à l’abri vos objets fragiles, de valeur, et même sentimentaux pour éviter tout dommage. Rien n’empêche de condamner une pièce contenant vos biens personnels ! Si l’échange de maison ne suppose pas de démarches administratives particulières, toutefois pour s’épargner les désagréments, il est vivement conseillé de le contractualiser. Il est alors préférable d’informer votre assureur que des hôtes séjournent chez vous. Renseignez-vous auprès de lui pour, si besoin, étendre vos garanties aux personnes avec lesquelles vous effectuez l’échange de maison.

     

    Vacances : ces choses à savoir avant d’échanger votre maison cet été

     

    Vous envisagez de louer votre habitation cet été ?

    La garantie « voyage et villégiature » de votre contrat Habitation Macif couvre les dommages matériels causés à votre logement par votre locataire. Pour plus de détails, rendez-vous sur macif.fr !

    L’Essentiel de l’article

    • Passez par une plateforme d’échanges reconnue.
    • Faites connaissance en amont avec vos hôtes.
    • Contractualisez l’échange et prévenez votre assurance pour vous épargner toute mauvaise surprise.

    (1) OpinionWay, Les Français et leur budget pour les vacances d’été, 2020

    (2) Moyenne des tarifs constatés en 2022 pour les plateformes HomeExchange, Love home swap et Echangersamaison

  • Qu’est-ce que la crypto-monnaie ?

    Qu’est-ce que la crypto-monnaie ?

    Le marché de la crypto-monnaie est en forte croissance ces dernières années, mais il représente autant d’opportunités d’investissements que de risques. Il convient donc d’être vigilant. Voici ce qu’il faut savoir avant d’investir dans les monnaies numériques.


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    Qu’est-ce que la crypto-monnaie ?

    « La crypto-monnaie est une monnaie virtuelle numérique, non émise par une entité gouvernementale ou financière (État ou banque). Il s’agit d’un système nommé pair-à-pair, qui n’utilise ni monnaies, ni billets de banque », explique Benjamin Sultan, trader professionnel. « Cette monnaie numérique repose sur un réseau de chaînes de blocs (ou blockchain). Il s’agit d’une base de données décentralisée et sécurisée, qui ne peut être ni falsifiée, ni modifiable ». Ainsi, la crypto-monnaie est accessible aux actionnaires (personnes ou entreprises) à tout moment et de n’importe où. « Vous êtes votre propre banque, personne ne peut vous empêcher de l’utiliser. Et personne ne contrôle les échanges entre utilisateurs », poursuit le spécialiste.

    Chiffre-clé

    En 2022, le marché total des crypto-monnaies est évalué à un peu plus de 1 500 milliards(1) dollars.


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    Quels sont les différents types de crypto-monnaies ?

    « Il existe plusieurs sortes de crypto-monnaie, explique Benjamin Sultan. Chaque crypto-monnaie, qui est une devise, a sa propre spécificité au même titre que l’euro, le dollar, le yen par exemple… Le bitcoin est aujourd’hui la reine de la crypto-monnaie, créé par le Japonais Satoshi Nakamoto en 2009. Il s’agit du réseau le plus grand et le plus sécurisé. Le créateur a décidé qu’il y aura un nombre limité de bitcoins en circulation : soit 21 millions maximum. 19 millions sont émis aujourd’hui ». Parmi les crypto-monnaies aussi leader sur le marché : l’ethereum (ETH, Ether ou Ethereum) qui arrive en seconde place, et le ripple (XRP).

    Chiffre-clé

    8 %(2) des Français possèdent des crypto-monnaies, et 30 % envisagent d’en acheter.


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    Comment obtient-on de la crypto-monnaie ?

    Pour obtenir de la crypto-monnaie, « il suffit de créer un compte sur une plateforme web dédiée et sécurisée, de s’identifier, et de déposer des euros (pas de montant minimum) pour acheter des crypto-monnaies », indique Benjamin Sultan, qui utilise la plateforme d’échange Binance. En 2022, si vous souhaitez acheter l’une des principales crypto-monnaies, vous devrez dépenser environ 29 615,56 dollars pour un bitcoin, 1 764,57 dollars pour un Ethereum, 1 dollar pour un Tether ou un USD Coin et 280,52 dollars pour un Binance coin (BNB). À noter que le prix de chaque crypto-monnaie peut monter et descendre en fonction de l’offre et de la demande. Par exemple, la variation journalière moyenne du bitcoin est de +0,3 %(3).


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    Comment utilise-t-on la crypto-monnaie ?

    Les crypto-monnaies n’ont aucun lien avec l’économie réelle ni les monnaies d’État (euro, dollar, livre…). Elles ne subissent pas les taux de change ni les taux d’intérêt imposés par les banques par exemple.

    Depuis 2009, la crypto-monnaie relève essentiellement du domaine spéculatif. C’est-à-dire qu’on achète de la monnaie virtuelle dans le but d’en tirer profit lorsque son prix augmentera. C’est une source d’investissement. « Pour 95 % des utilisateurs, il s’agit de la revendre plus cher, plus tard pour faire de la plus-value, souligne Benjamin Sultan. Dans les pays occidentaux, la crypto-monnaie n’a pas vocation à être utilisée. Quelques bars à Paris l’acceptent, et prochainement un grand centre commercial. Ça se diffuse progressivement. Par contre, au Salvador (Amérique centrale), on peut utiliser le bitcoin comme monnaie légale. Aux États-Unis, des biens immobiliers sont achetés en crypto-monnaie », explique-t-il.


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    Quels sont les risques ?

    Le marché des crypto-monnaies est beaucoup plus volatil que la finance traditionnelle. Il y a donc un risque de perdre votre capital. Pour preuve, depuis 2021, toutes les monnaies virtuelles ont fortement chuté. Ainsi, le bitcoin est passé de 69.000 dollars(4) fin 2021 à 29.000 dollars en juin 2022, soit une baisse de 58 %. Ce crypto-krach a fait chuter le capital de nombreux investisseurs. Soyez donc prudent si vous souhaitez vous lancer dans vos premiers investissements.

    « Ce marché peut aussi entraîner un risque d’addiction, car il pousse à miser de l’argent. On peut obtenir de gros gains, mais essuyer aussi de grosses pertes. D’où l’importance de bien se faire accompagner par des professionnels. Ils sont les mieux placés pour vous conseiller dans vos investissements », explique le spécialiste.

    VOUS VOULEZ ÉPARGNER L’ESPRIT TRANQUILLE ?

    La crypto-monnaie peut présenter des risques. Si vous préférez une épargne plus rassurante, optez pour le fonds euros du contrat d’’assurance-vie de la Macif*.

     

    *La Macif agit en qualité d’Intermédiaire en opérations de banque et en services de paiement pour le compte exclusif de Socram Banque. N° Orias 13005670 (www.orias.fr).

    L’Essentiel de l’article

    • Le bitcoin est aujourd’hui la reine de la crypto-monnaie.
    • La crypto-monnaie relève essentiellement du domaine spéculatif.
    • Le marché des crypto-monnaies a une forte volatilité, il y a donc un risque de perdre son capital.

    (1) CoinGecko, Cours des crypto-monnaies par capitalisation boursière

    (2) ADAN-KPGMG, La crypto en France, 2022

    (3) Cointribune, Bitcoin (BTC) : ce que révèlent les statistiques des variations, 2021

    (4) CoinGecko, Bitcoin (BTC)

  • Climatisation et bébé : comment l’utiliser sans risque ?

    Climatisation et bébé : comment l’utiliser sans risque ?

    À la saison estivale ou lors d’un épisode de canicule, la climatisation peut être une solution efficace pour rafraîchir votre habitation. Elle purifie l’air respiré à l’intérieur tout en régulant la température ambiante. Oui, mais si vous avez un bébé, il convient de bien savoir l’utiliser pour le protéger.

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    Préserver la température idéale pour bébé

    « Le risque avec la climatisation, aussi bien pour les parents que pour les enfants, ce sont les changements importants de température », prévient le Dr Madiha Ellaffi, pneumologue-allergologue, spécialisé en troubles respiratoires du sommeil de l’enfant et de l’adulte. « Il est important de bien régler la climatisation en veillant à ce que les écarts de température entre les pièces ou avec l’extérieur, soient de maximum 6 °C. C’est-à-dire qu’il ne faut pas passer d’un endroit où il fait très chaud à une pièce où il fait très froid », explique-t-elle. Ce changement brusque risque d’engendrer un choc thermique, l’organisme des tout-petits étant particulièrement sensible aux variations de températures.

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    À savoir

    La température idéale d’une chambre de bébé ou d’enfant est comprise entre 18 °C et 19 °C. Réglez alors la climatisation de sorte à garder cette température stable.

    Veillez à ce que le flux d’air froid ne soit pas directement axé sur l’enfant.

    Dr Madiha Ellaffi, pneumologue-allergologue.


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    Bien entretenir sa climatisation

    « L’entretien régulier de la climatisation est primordial, au risque de respirer la poussière qui s’y est déposée, poursuit le Dr Ellaffi. Et il faut être vigilant avec les climatisations qui retiennent de l’eau car cela peut être source de légionelles. » Il s’agit de bactéries qui prolifèrent principalement dans l’eau stagnante dont la température est comprise entre 25 °C et 43 °C, et qui sont responsables de la légionellose, une maladie respiratoire.

    1 foyer sur 4

    possède une climatisation en 2021 contre 14% en 2016.(1)


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    Bébé et climatisation : les précautions à prendre

    Autre précaution : « Veillez à ce que le flux d’air froid ne soit pas directement axé sur l’enfant », indique la pneumologue. Pour cela, dans la chambre de votre bébé, installez la climatisation le plus loin possible de son lit et si possible près d’une source d’aération : fenêtre ou porte. Vous utilisez un ventilateur ? Le Dr Madiha Ellaffi conseille de placer dessus un linge humide, qui permettra de rafraîchir la pièce efficacement tout en évitant que l’appareil souffle directement sur votre enfant ou toute personne présente dans la pièce.

    Des mesures de bon sens sont aussi à adopter : enclenchez la climatisation une fois que votre enfant est habillé, en particulier après le bain, et lorsqu’il a les cheveux secs. Vous pouvez aussi lancer la climatisation à l’avance pour rafraîchir sa chambre, puis la couper à l’heure du coucher. En cas d’exposition longue, pendant la sieste par exemple, pensez à habiller votre enfant avec des vêtements en coton un peu plus épais pour éviter qu’il n’attrape froid.

    L’Essentiel de l’article

    • La température idéale dans la chambre de bébé est entre 18 °C et 19 °C.
    • Installez la climatisation le plus loin possible du lit de votre bébé.
    • Entretenez régulièrement votre climatisation.

    (1) Ademe 2021

  • La colocation, toujours aussi prisée par les jeunes !

    La colocation, toujours aussi prisée par les jeunes !

    Vivre en coloc’, c’est partager un lieu de vie et le loyer, mais pas que ! Par souci d’économie ou pour rompre la solitude, les étudiants restent attirés par la vie en communauté.


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    Quel est le profil type du colocataire ?

    En France, les candidats à la colocation sont étudiants pour 58 %(1) d’entre eux (55 % en 2020(2)), et 36 %(1) travaillent (41 % en 2020(2)). Le profil type des jeunes qui optent pour la vie en communauté : âgé de 27 ans(1) en moyenne, avec un revenu moyen mensuel de 1 805 € (lui ou ses garants) contre 1 729 € en 2020(2).

    Chiffre-clé

    76 %(1) des colocataires ont moins de 30 ans et 6 % plus de 50 ans.


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    Quelles sont les villes les plus propices à la colocation ?

    L’Île-de-France représente 38 %(1) des recherches de colocation, contre 62 %(1) pour les autres régions, qui gagnent d’ailleurs 4 points par rapport à 2020(2), confirmant ainsi la perte de vitesse du marché parisien depuis la crise sanitaire.

    La Rochelle, avec 7,9 demandes pour une chambre libre, remplace Paris (8,2 demandes en 2020(2)) et devient la première ville où il fait bon partager la cuisine, la salle d’eau et la pièce principale ! En manque de logements et de terrains disponibles, la ville étudiante paye le prix de son attractivité. Dans ce top 5 où le marché de la colocation est le plus tendu, viennent ensuite, Lyon (4,8 demandes) et Lille (4,7 demandes par chambre). Paris (4,6 demandes) et Angers (3,4 demandes) complètent ce classement.

    Si vous souhaitez trouver plus facilement une colocation, Saint-Étienne reste idéal avec presque 4 chambres libres pour 1 demande (contre 2 chambres pour 1 demande en 2020(2)). Autres grandes villes, où il est plus aisé de trouver une colocation : Nice, Limoges, Amiens et Nîmes.


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    À combien s’élève le loyer moyen d’une colocation ?

    Pour vivre dans une chambre en colocation, il faut débourser en moyenne 392 €/mois (charges incluses) en province (+ 1,82 %(2) par rapport à 2020), 715 €/mois à Paris (+ 0,7 %(2) par rapport à 2020), et 442 € au niveau national (+ 2,46 %(2) par rapport à 2020). Contre 562 € (515 €(2) en 2020) pour un studio en location individuelle (soit 27 % plus cher). La colocation est donc une option économique pour les étudiants au budget serré !


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    Qu’est-ce qui motive les jeunes à vivre à plusieurs ?

    L’aspect social est la principale motivation des jeunes colocataires. Comme en 2020, 73 %(1) d’entre eux disent opter pour la colocation pour rencontrer de nouvelles personnes, voire parfois, découvrir d’autres cultures. L’aspect économique est aussi important. 49 %(1) des jeunes disent vouloir réduire leur budget logement (contre 53 %(2) en 2020) Autre attrait de la colocation : le fait de pouvoir profiter d’un logement plus grand, qui n’était pas une priorité pour les jeunes auparavant. Une autre conséquence du confinement.

    Chiffre-clé

    Avec le français, l’anglais (70 %), l’espagnol (23 %) et l’allemand (9 %) sont les langues les plus parlées dans les colocations.

    BESOIN D’UNE ASSURANCE LOGEMENT ÉTUDIANT ?

    L’assurance Macif Habitation étudiant, un contrat qui accompagne votre vie étudiante : une protection en cas d’accident et des options pour couvrir vos biens où que vous soyez (smartphone, vélo, ordinateur, etc.).

    L’Essentiel de l’article

    • Le profil type du colocataire : 27 ans en moyenne, avec un revenu moyen de 1 805 €/mois.
    • La Rochelle est la ville la plus recherchée par les colocataires.
    • Le loyer moyen en colocation s’élève à 442 €/mois, charges incluses.
    • La colocation est une option idéale pour réduire ses dépenses.

    (1) Observatoire 2021 de la colocation par LocService

    (2) Observatoire 2020 de la colocation par LocService

  • Biodiversité : 6 gestes faciles pour la préserver chez soi

    Biodiversité : 6 gestes faciles pour la préserver chez soi

    Envie d’une maison plus verte ? Il existe pléthore d’actions pour sauvegarder la diversité animale et végétale depuis chez vous. Si de nombreuses actions se développent pour encourager l’humain à agir en faveur de la biodiversité, chacun peut être acteur à son échelle.


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    Installez des nichoirs à oiseaux

    Parce qu’il est de plus en plus compliqué pour les oiseaux de trouver des lieux de nidification (arbres creux, trous, fissures dans les murs, haies naturelles, vieilles granges…), il leur est donc difficile de se reproduire. Pour assurer la pérennité de ces animaux à plumes, vous pouvez fabriquer un nichoir à oiseaux à l’aide de bois de récupération. Vous pouvez le fixer directement sur un arbre à l’aide de vis ou le suspendre à une branche. Préférez un endroit exposé sud-est (pour profiter au maximum de la douceur des températures en journée), calme, à l’abri des prédateurs et sans obstacle pour y rentrer. Si au bout de 2 ans, votre nichoir n’a pas été occupé, c’est probablement que l’emplacement n’est pas bon. Mais s’il venait à l’être, préservez l’intimité de vos petits occupants : ne touchez jamais aux œufs et aux petits au risque de les perturber. Et pensez à nettoyer votre nichoir deux fois par an !


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    Privilégiez les clôtures végétales

    Les haies végétales autour des maisons et des jardins sont une alternative efficace pour égayer un espace et lui apporter une touche de verdure. Écologiques par essence, elles présentent l’avantage de favoriser la biodiversité végétale mais aussi animale, tant elles sont un hôtel de choix pour les insectes pollinisateurs et les oiseaux. Idem pour votre gazon ! Préférez laisser quelques mètres carrés non tondus pour permettre aux coccinelles, papillons et autres insectes d’envahir votre jardin. Pensez aussi à laisser pousser les plantes sauvages qui sont très utiles dans le jardin. C’est la garantie de nourrir les insectes pollinisateurs, mais aussi de leur fournir un lieu pour se développer.

    Vous n’avez pas de jardin ? Pas de souci, aménager votre balcon ou utiliser les rebords de vos fenêtres permet aussi de sauvegarder la biodiversité. Vous pouvez installer des plantes, des jardinières aromatiques ou des plants de tomates par exemple… Préférez toujours des espèces locales, adaptées au climat de votre région et qui nécessitent moins d’entretien qu’une plante exotique.

    LE SAVIEZ-VOUS ?

    La Fondation Macif soutient de nombreuses initiatives solidaires pour préserver l’environnement. Renseignez-vous !


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    Réduisez l’éclairage extérieur la nuit

    Outre le gaspillage énergétique considérable qu’il induit, l’éclairage artificiel nocturne est une source de perturbations pour la biodiversité : modification du système proie-prédateur (les proies sont plus visibles par les prédateurs nocturnes en zones éclairées), perturbation des cycles de reproduction, des migrations… Pensez alors à réduire l’éclairage de vos extérieurs et à favoriser l’éclairage solaire.

    Le saviez-vous ?

    Si les LED restent la solution d’éclairage la plus économique et écologique, l’Agence Nationale de Sécurité Sanitaire Alimentaire Nationale (l’ANSES)(1) alerte sur le fait qu’elles demeurent nocives pour l’environnement, notamment à cause de la couleur bleue émise dans le flux lumineux.


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    Bannissez autant que possible les pesticides

    L’impact des pesticides sur la biodiversité est loin d’être négligeable. Ils tuent les abeilles et les pollinisateurs, menaçant ainsi l’ensemble de la biodiversité. Ils mettent aussi à mal les milieux naturels : l’eau, l’air et les sols, ce qui peut perturber les organismes qui y vivent. Vous ne pouvez vous en passer ? Préférez les pesticides naturels, à acheter tout prêt ou à fabriquer soi-même.


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    Installez un composteur dans votre jardin ou sur votre balcon

    Le composteur permet de jeter tous vos déchets végétaux mais aussi organiques comme les épluchures des fruits et légumes, les coquilles d’œuf, les sachets de thé, d’infusion, de tisane, le marc de café, etc. Une excellente idée pour constituer de l’engrais naturel pour vos plantes et votre potager. Il existe différents modèles de composteurs, qui s’installent facilement dans tous les espaces, dans le jardin comme sur le balcon.

    VOUS SOUHAITEZ AGIR POUR L’ENVIRONNEMENT ?

    Rendez-vous sur Diffuz.com, la plateforme solidaire de la Macif ! Vous pourrez y découvrir les défis solidaires près de chez vous.

    L’Essentiel de l’article

    • Favorisez la biodiversité avec des clôtures végétales ou des jardinières.
    • Bannissez les pesticides et installez des nichoirs à oiseaux.
    • Préservez les ressources en eau et investissez dans un composteur.

    (1) ANSES, Effets sur la santé humaine et sur l’environnement (faune et flore) des diodes électroluminescentes (LED), 2019

  • Travaux d’emménagement : attention à respecter les règles de bon voisinage

    Travaux d’emménagement : attention à respecter les règles de bon voisinage

    Poncer, percer, abattre, découper, décaper… Avant de choisir votre artisan et de vous lancer dans des travaux importants, il convient de vous pencher sur le règlement de votre copropriété et d’adopter quelques mesures de savoir-vivre.


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    Pour éviter la remarque « Vous auriez pu prévenir !  »

    Faites de la communication votre meilleure alliée ! Avant d’entamer votre chantier, pensez à frapper à la porte de chaque voisin pour vous présenter, leur annoncer l’ampleur et le calendrier de vos travaux. Autres possibilités : glissez un petit mot dans l’ascenseur ou l’entrée de l’immeuble. Une petite attention qui permettra d’éloigner les soucis et autres remontrances verbales.


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    Pour éviter la remarque « Vous salissez/encombrez l’immeuble ! »

    Les parties communes sont réservées à un usage commun, comme leur nom l’indique. Y entreposer des objets encombrants y est interdit par le règlement de copropriété et par la loi. Leur utilisation abusive est souvent à l’origine de conflits. Pour apaiser vos voisins durant vos travaux, il est donc préférable de respecter ces espaces partagés.

    Pensez à passer un coup de balai ou de serpillière régulièrement, si vos travaux ou les allées et venues de vos artisans laissent des traces… Pas le choix que d’utiliser le palier pour entreposer du matériel nécessaire à vos travaux ? Informez au préalable votre syndic ou vos voisins pour trouver un terrain d’entente. Pour bricoler en toute sécurité et éviter d’envahir le voisinage, pensez, par ailleurs, à vous rendre régulièrement à la déchetterie ou à faire appel à une entreprise d’évacuation des gravats pour vous débarrasser des déchets constitués par vos travaux.


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    Pour éviter la remarque « Vous réveillez nos enfants le matin ! »

    Les travaux de grande envergure peuvent parfois occasionner des nuisances sonores et constituer un trouble anormal du voisinage lorsqu’elles deviennent excessives. Ces troubles sont passibles de sanction par un tribunal lorsqu’ils sont avérés.

    Pour ne pas nuire à la tranquillité du voisinage, respectez les plages horaires de travaux, établies par le Conseil national du bruit, au risque de vous exposer à une amende. L’organisme classe les travaux sources de nuisances sonores en copropriété en deux catégories : les travaux lourds qui entraînent du bruit (rénovation énergétique, ravalement…) et les travaux de bricolage légers (peinture, papier peint…). Les premiers sont autorisés entre 7h et 20h, du lundi au samedi. En dehors de ces créneaux, cela relève du trouble de voisinage. Les bricoleurs pourront effectuer des travaux légers du lundi au vendredi, entre 8h et 12h et entre 14h et 19h30, le samedi de 9h à 12h et de 15h à 19h et le dimanche et les jours fériés de 10h à 12h(1).


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    Pour éviter la remarque « Vous êtes chez moi ! »

    Vous souhaitez faire des travaux qui nécessitent de vous rendre temporairement sur la propriété de votre voisin ? C’est possible ! C’est ce que l’on appelle la servitude de tour d’échelle : un droit de passage temporaire accordé à un propriétaire, sur le terrain voisin, pour l’entretien nécessaire de son bien. Ce droit ne repose sur aucun texte de loi, il est donc conseillé de demander l’autorisation à votre voisin afin d’éviter tout conflit. Vous pouvez obtenir son accord oralement, mais il est recommandé de le formaliser par un document écrit, qui précisera notamment la nature des travaux, les horaires de passage sur le terrain de votre voisin, les précautions à prendre, etc.

    Si votre voisin refuse de vous donner accès à son terrain, vous pouvez contacter un conciliateur de justice, ou faire constater le refus par voie d’huissier avant l’intervention judiciaire, voire faire un recours auprès du tribunal.

    Bon à savoir

    Dans certaines communes, il est interdit de faire des travaux l’été, afin de préserver la tranquillité des touristes et des habitants. C’est le cas, par exemple, à La Baule, Douarnenez et Dinard. Renseignez-vous donc auprès de votre mairie avant d’entreprendre un chantier chez vous !

    VOUS ENVISAGEZ DES TRAVAUX ?

    Découvrez les bons plans et solutions Macif pour réaliser vos travaux et aménager votre intérieur.

    L’Essentiel de l’article

    • Informez vos voisins en amont de vos travaux.
    • Maintenez les lieux communs propres.
    • Respectez les plages horaires de travaux autorisés.

    (1) Conseil national du bruit, 2021

  • Nuisibles à la maison : les bons réflexes à adopter !

    Nuisibles à la maison : les bons réflexes à adopter !


    1

    Gare aux mites de vêtements et alimentaires

    Si vous découvrez des trous dans vos vêtements, c’est sûrement que vous avez des mites dans votre penderie. Les larves de ces petits papillons se nourrissent de fibres d’origine animale, comme la laine et le cachemire, et elles adorent les recoins sombres. Pour éviter une invasion de mites, nettoyez régulièrement votre armoire ! Pensez aussi à y disposer un coton imbibé d’huiles essentielles (thym, lavande…) car les mites détestent les odeurs fortes !

    De la même manière, inspectez et rangez régulièrement vos placards de cuisine. Pensez à conserver vos aliments dans des boîtes hermétiques et ne laissez jamais de sacs ou paquets entamés ouverts pour éviter l’apparition de mites alimentaires.

    Votre logement est infesté par des nuisibles ?

    Le contrat Macif Habitation pour votre résidence principale vous permet de bénéficier d’une assistance en cas d’infestation de l’intérieur de votre logement par des nuisibles. Selon les conditions et limites du contrat souscrit.


    2

    Protégez vos canalisations des cafards

    Vos canalisations sont bouchées et/ou sentent mauvais ? C’est peut-être dû à des cafards qui tentent de remonter à la surface. Dans la salle de bain, vérifiez toujours l’étanchéité de vos tuyaux d’évacuation et des joints. Si besoin, remplacez-les. Et pensez à nettoyer et désinfecter régulièrement vos canalisations. Ainsi, cafards et autres blattes ne pourront plus sortir des égouts pour rentrer chez vous !

    Chiffre-clé

    92 % des Français (1) ont déjà eu des nuisibles dans leur logement.


    3

    Attention aux rongeurs : surveillez les trous et autres accès à votre intérieur

    Vous avez des fils électriques rongés, des courts-circuits dans la maison ou des débris de laine de verre dans votre grenier ? C’est peut-être la petite souris qui est passée par là ! Pour prévenir l’apparition des rongeurs chez vous, débarrassez-vous de vos ordures ménagères car ils ont un faible pour les poubelles pleines de nourriture ! Veillez aussi à boucher fissures et autres trous dans vos murs avec du ciment, remplacer les tuiles cassées de votre grenier ou à installer un grillage de mailles pour empêcher que les rongeurs ne s’immiscent dans votre intérieur.

    Bon à savoir : qui paie les frais pour se débarrasser des nuisibles ?

    Si vous êtes locataire, votre propriétaire bailleur doit faire intervenir un professionnel dans votre logement ou résoudre le problème à ses frais. Si vous êtes propriétaire de votre appartement, votre syndic doit faire appel à des spécialistes et les prestations sont à la charge de la copropriété. Si vous êtes propriétaire de votre maison, c’est à vous de régler la note.

    L’Essentiel de l’article

    • Nettoyez régulièrement vos armoires et placards de cuisine.
    • Surveillez les points d’entrée des rongeurs.
    • Désencrassez et désinfectez régulièrement vos canalisations.

    (1) ODOXA, pour la Chambre syndicale des entreprises de dératisation, désinfection et désinsectisation, 2019

  • Devenir propriétaire : 5 bons plans pour accéder à la propriété immobilière

    Devenir propriétaire : 5 bons plans pour accéder à la propriété immobilière


    1

    Bénéficier d’aides pour accéder à la propriété à coût maîtrisé

    L’État propose plusieurs dispositifs pour vous aider à acheter votre premier bien immobilier. Parmi eux, le PTZ (Prêt à Taux Zéro) (1), qui vous permet, selon vos revenus, de financer une partie de l’achat ou de la construction de votre résidence principale. Le PTZ peut se cumuler au PAS (Prêt d’Accession Sociale) (2), accordé aux familles ayant des revenus modestes souhaitant acquérir ou faire construire leur résidence principale. D’autres critères tels que la localisation du futur logement et le nombre d’occupants entrent en compte.

    Sous certaines conditions, vous pouvez également bénéficier d’une TVA réduite à 5,5 % (contre 20 % normalement) (3) si vous achetez un logement neuf en zone dite ANRU (Agence Nationale pour la Rénovation Urbaine) ou en QPV (quartier prioritaire de la politique de la ville).

    Vous souhaitez assurer votre logement ?

    Le contrat Macif Habitation vous permet d’assurer une résidence principale ou secondaire, un logement mis en location voire même une maison en construction. Choisissez la formule qui vous convient.


    2

    Placer son argent pour se constituer un apport personnel

    Autre astuce : épargner grâce à différents supports d’investissement comme le Livret A ou le Livret d’Épargne Populaire (LEP) pour vous créer un apport personnel dans le but de vous constituer un patrimoine immobilier. S’il n’est pas obligatoire, l’apport personnel peut servir à payer les frais liés à l’emprunt (frais de notaires et/ou de garanties, caution, etc.). Sans compter qu’il permet également d’obtenir un taux plus intéressant auprès de votre banque et d’augmenter votre capacité d’emprunt !

    Bon à savoir

    Pour bénéficier d’un placement plus rémunérateur que l’épargne bancaire, vous pouvez souscrire un contrat d’assurance vie ou opter pour l’épargne salariale (dispositif d’épargne collectif proposé par certaines entreprises).


    3

    Se faire accompagner par un courtier pour obtenir le meilleur financement

    Spécialiste du crédit immobilier, le courtier contacte les banques et autres organismes financiers pour vous aider à obtenir le meilleur taux d’intérêt pour votre prêt et trouver la solution de financement optimale pour votre projet immobilier. Faire appel aux services d’un courtier n’est pas réservé aux plus aisés et peut permettre de faire des économies en réduisant considérablement votre dette.


    4

    Acheter de particulier à particulier pour faire des économies

    En passant par une agence pour l’achat d’un bien immobilier, vous payez les honoraires de l’agent immobilier. Ces frais correspondent à une somme fixe ou à un pourcentage du prix de vente final. Acheter directement auprès d’un particulier vous permet donc de faire des économies non négligeables.

    Néanmoins, l’agent immobilier a un devoir de conseil et vous permet de gagner du temps. En effet, celui-ci vous propose une liste de biens répondants à vos souhaits, et vous évite de passer des heures à trier les petites annonces. Il vous garantit également d’acquérir votre bien au juste prix, sans avoir à étudier le marché immobilier. L’achat entre particuliers permet donc de faire des économies, mais certaines précautions sont à prendre afin de déjouer les pièges et d’acheter en toute sérénité.


    5

    Choisir la location-accession pour devenir propriétaire progressivement

    Le prêt social location-accession (PSLA) vous permet d’acheter le logement que vous occupez après l’avoir loué pendant un certain temps. Vous signez d’abord un contrat de location-accession avec le propriétaire, qui s’engage à vous transférer la propriété du logement au terme d’une période donnée et moyennant un prix préalablement fixé. Pendant cette location, vous versez chaque mois une somme au propriétaire, intégrant le prix du loyer fixé et une avance sur le prix de vente. À l’issue de la période dite de jouissance, vous pouvez décider d’acquérir le logement en signant un contrat de vente.

    Le cas échéant, le montant que vous avez déjà réglé au titre de l’avance sera déduit du prix de vente. Ce dispositif réservé aux ménages aux revenus modestes, permet d’accéder à la propriété grâce à un prix de vente attractif, un prêt aux mensualités avantageuses et une exonération de taxe foncière pendant 15 ans (4).

    Comment trouver un bien immobilier à acheter ?

    La Macif vous guide dans votre projet.

    L’Essentiel de l’article

    • Profitez des financements aidés pour acquérir votre premier bien immobilier.
    • Dénichez le meilleur taux immobilier grâce à un courtier.
    • Envisagez l’achat de particulier à particulier ou optez pour la location-accession.

    1) service-public.fr, Prêt à taux zéro (PTZ), 2020

    2) service-public.fr, Prêt d’accession sociale (PAS), 2020

    3) ANRU, TVA à taux réduit pour l’accession à la propriété en « zones ANRU »

    4) bofip.impots.gouv, IF – Taxe foncière sur les propriétés bâties – Champ d’application et territorialité – Exonération temporaire de longue durée en faveur des constructions de logements faisant l’objet d’un contrat de location-accession, 2020

  • Sécurité : ces nouvelles technologies qui protègent votre habitation des cambriolages

    Sécurité : ces nouvelles technologies qui protègent votre habitation des cambriolages

    Crainte ou hantise pour les uns, mauvais souvenir pour d’autres : l’intrusion de voleurs à domicile, même si elle a lieu sans effraction ou dégradation, peut-être une expérience traumatisante. Tour d’horizon des solutions innovantes permettant de protéger votre habitation.

    Mis à jour 27/03/21

    Si elle rime naturellement avec soleil et vacances, la saison estivale est également la période préférée des cambrioleurs (+ 29 % de cambriolages en juillet-août (1)) qui n’hésitent pas à pénétrer dans les logements même lorsqu’ils sont occupés. En particulier si vous habitez dans une grande ville où le risque est deux fois plus élevé qu’en milieu rural (1). Pour éviter ce préjudice de taille ? Pensez aux nouvelles technologies pour protéger votre habitation et avoir l’esprit tranquille !


    1

    La caméra surveillance connectée

    La vidéosurveillance à domicile s’est largement démocratisée ces dernières années. Faciles à installer et à utiliser, les caméras permettent de garder un œil chez vous sans y être. Les plus perfectionnés prennent – en cas de mouvements détectés – des photos ou vidéos qui peuvent vous être transmises en temps réel par e-mail, SMS, ou via une application dédiée. En cas d’intrusion, vous n’avez plus qu’à donner l’alerte aux gendarmes ou aux policiers.

    Chiffre-clé

    La présence d’une alarme dans une habitation réduit de 32 % (2) le risque de cambriolage.


    2

    Le robot intelligent

    Petit par la taille (ce qui lui assure une certaine discrétion), le robot connecté se balade partout dans votre logement. Dirigeable à distance depuis un smartphone, il se recharge en toute autonomie et, grâce à sa caméra, vous alerte en cas de cambriolage en vous transmettant des vidéos de l’intrusion. Certains robots sont même équipés d’un microphone qui vous permet d’avoir une oreille sur ce qu’il se passe chez vous ou encore d’interagir avec vos animaux de compagnie en votre absence.


    3

    La serrure électronique

    En place chez les professionnels du tourisme depuis des années, les systèmes d’ouverture de porte sans contact sont désormais plébiscités par les particuliers. Plus sûre que la serrure classique, la serrure électronique vous permet de piloter à distance, à l’aide de votre smartphone ou de votre ordinateur, l’ouverture ou la fermeture des portes de votre logement. Un système qui vous permet de sécuriser les allées et venus dans votre habitation sans avoir besoin des clés.

    Bon à savoir

    Nouvelles technologies, mais pas sans risque

    Si vous optez pour l’installation d’une serrure électronique, privilégiez les produits certifiés a2P@ afin d’éviter tout dysfonctionnement ou piratage informatique.


    4

    L’alarme génératrice de brouillard

    Enfumer la pièce est une façon aussi efficace qu’impressionnante de dissuader les cambrioleurs. L’alarme se déclenche quelques secondes après le début de l’infraction. Une épaisse (et inoffensive pour la santé) fumée opaque se diffuse alors dans la pièce, empêchant les cambrioleurs de se repérer dans votre logement et de poursuivre leur action. À noter que ce type de système peut aussi être actionné par un bouton ou une télécommande si vous êtes présent durant les faits.

    Vous êtes propriétaires ?

    Pensez à bien assurer et protéger votre bien immobilier pour garder l’esprit tranquille.

    L’Essentiel de l’article

    • La caméra de surveillance est le dispositif le plus simple à installer et à utiliser.
    • La serrure électronique vous permet de contrôler les allées et venues dans votre habitation.
    • Optez pour des systèmes certifiés pour garantir votre sécurité.

    (1) Data.gouv, Les cambriolages et tentatives de cambriolage de résidences principales, 2020
    (2) ONDRP, Le rôle des éléments de sécurité face aux cambriolages, p.16, 2016