Catégorie : Organiser mon quotidien

  • Quelles sont les aides financières pour les jeunes de moins de 25 ans ?

    Quelles sont les aides financières pour les jeunes de moins de 25 ans ?

    Rembourser un emprunt étudiant, faire les courses alimentaires, régler ses factures, faire le plein d’essence, s’octroyer un petit plaisir… Joindre les deux bouts peut s’avérer être une sacrée gymnastique quand on a moins de 25 ans Une précarité des jeunes accentuée encore par la crise sanitaire. Alors quelles sont les aides financières auxquelles vous pouvez peut-être prétendre ?


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    Quelles sont les aides financières au logement pour les jeunes ?

    Vous souhaitez quitter le cocon familial et prendre un appartement ? Pour vous aider à prendre votre envol dans les meilleures conditions possibles, des aides au logement existent pour les jeunes :

    • L’Aide Personnalisée au Logement (APL) est versée par la CAF chaque mois afin de vous aider à payer votre loyer. Elle s’adresse aux étudiants, jeunes travailleurs, apprentis, demandeurs d’emploi, salariés… et son montant varie selon vos ressources, la composition de votre foyer et le type de logement loué.
       
    • L’aide Mobili-jeune, subvention accordée aux jeunes de moins de 30 ans par Action Logement sous certaines conditions, réduit le montant du loyer de votre logement durant la période de votre formation en alternance (contrat d’apprentissage ou de professionnalisation) au sein d’une entreprise du secteur privé non agricole. Cumulable avec l’APL, le montant maximum alloué est de 100 euros pour une durée maximum de 12 mois(1).
       
    • La garantie Visale, c’est la caution nouvelle génération d’Action Logement qui se porte garant gratuitement, sous certaines conditions, pour couvrir vos loyers impayés et d’éventuelles dégradations locatives de votre logement. Cette aide est réservée au moins de 30 ans, étudiants, apprentis, salariés ou sans emploi.
       
    • Lire aussi : Jeunes : tout savoir pour bien gérer son budget logement


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    Quelles sont les aides financières à l’accès aux soins pour les jeunes ?

    Si 92 %(2) des jeunes de 18 à 24 ans sont couverts par une complémentaire santé, 4 %(1) d’entre eux ont renoncé à un rendez-vous avec un médecin pour des raisons financières dans les 12 derniers mois, selon le rapport de la DRESS (Direction de la Recherche, des Études, de l’Évaluation et des Statistiques). Les étudiants sont, quant à eux, 30 %(1) à ne pas se soigner par manque de moyens financiers. Pourtant, des aides existent pour alléger le budget santé des jeunes de 18-25 ans :

    • La Complémentaire santé solidaire est une aide de l’Assurance Maladie au paiement de vos dépenses de santé. Selon vos revenus et votre âge, cette aide est gratuite (si vous percevez moins de 753 €/mois) ou coûte au maximum 8 euros par mois (si vous percevez entre 753 € et 1 017 €/mois)(1). Faites la demande depuis votre compte Ameli !
       
    • L’aide financière individuelle est accordée par l’Assurance Maladie aux personnes se trouvant dans une situation de précarité financière causée par une maladie, un accident du travail, une maternité ou un décès. Cette aide assure la prise en charge de frais divers tels que les indemnités journalières. Chaque Caisse d’Assurance Maladie dispose d’un budget et de critères d’attribution spécifiques selon votre lieu de résidence.
       
    • Lire aussi : Santé des ados : 4 conseils pour anticiper les dépenses

    Bon à savoir

    Les 16-25 ans en stage de formation et les demandeurs d’emploi peuvent profiter d’un examen de santé gratuit tous les 5 ans, proposé par la CPAM (Caisse primaire d’assurance maladie).


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    Quelles sont les aides à la mobilité pour les jeunes ?

    Aller à l’université ou sur son lieu de travail ou de formation, se rendre à un entretien d’embauche… si se déplacer est une nécessité, cela peut s’avérer coûteux pour les petites bourses. Pour réduire vos frais de transport, voici les aides :

     

    Les aides financières pour les transports en commun

    • La carte Avantage Jeune de la SNCF permet, pour 49 € par an, de bénéficier d’une réduction de 30 % sur les billets de train (TGV, Intercités) en France, mais aussi sur des destinations européennes. La SNCF propose également, selon les régions, des abonnements préférentiels aux étudiants et aux apprentis pour qu’ils bénéficient de tarifs réduits sur leurs voyages entre leur domicile et le lieu de leurs études. Si vous avez entre 16 et 27 ans, vous pouvez également profiter de l’abonnement TGVmax, qui permet, pour 79 € par mois, de réserver gratuitement jusqu’à 6 billets de train simultanément pour vous déplacer en France.(1)
       
    • La gratuité des transports est un coup de pouce qu’offrent certaines collectivités territoriales pour réduire le coût des transports en commun pour les jeunes, les étudiants et les apprentis. Pour savoir si vous pouvez en bénéficier près de chez-vous, renseignez-vous auprès de votre mairie ou rendez-vous sur service-public.fr.

     

    Les aides financières pour le permis de conduire

    • Le “permis à un euro par jour” est un prêt* accordé par un établissement bancaire partenaire du dispositif et dont les intérêts sont pris en charge par l’État. Il permet aux jeunes de 16 à 25 ans d’étaler le paiement de leur formation à la conduite d’un véhicule avec des mensualités limitées à 30 euros par mois.
       
    • La bourse communale au permis de conduire est versée sous conditions par certaines collectivités locales aux jeunes pour les aider à financer une partie de leur formation au permis de conduire. Fonctionnant sur la base d’une solidarité réciproque, la mairie finance votre permis et en échange, vous vous engagez à effectuer une mission de bénévolat dans votre commune, en mettant vos compétences et vos envies au service d’autrui. Les critères d’attribution de l’aide varient d’une municipalité à une autre. N’hésitez pas à vous renseigner directement auprès de votre mairie.
       
    • L’aide au permis B de Pôle Emploi accorde une subvention de 1 200 euros aux demandeurs d’emploi d’au moins 18 ans, dont l’absence de permis B est un frein à l’embauche. Cette aide est versée directement à l’auto-école du demandeur.
       
    • L’aide au permis de conduire des CFA (Centre de formation d’apprentis), d’une hauteur de 500 euros, est attribuée à tous les apprentis d’au moins 18 ans souhaitant passer leur permis de conduire, sans conditions de ressources.
    *Un crédit vous engage et doit être remboursé. Vérifiez vos capacités de remboursement avant de vous engager.


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    Quelles sont les aides financières aux revenus pour les jeunes ?

    • Le Fonds d’aide aux jeunes (FAJ) est un coup de pouce financier qui peut être ponctuel ou régulier pour aider les jeunes de 18 à 24 ans à régler leurs frais de transport, de logement, de santé, par exemple. Le FAJ est une aide d’urgence, il est donc soumis à des critères très stricts de ressources et de statut. Pour savoir si vous y avez droit, prenez rendez-vous avec une assistante sociale au CCAS (centre communal d’action sociale) de votre secteur ou directement auprès de votre mairie.
       
    • La prime d’activité est une aide versée par la CAF (dès 18 ans) aux personnes qui exercent une activité professionnelle depuis au moins 3 mois et qui perçoivent un salaire minimum de 943 euros (pour les étudiants et apprentis).
       
    • Le Revenu de solidarité active (RSA) jeune actif peut également être versé par la CAF aux 18-25 ans, qui sont sans emploi, mais qui ont travaillé deux ans au cours des trois dernières années. Son montant varie selon votre situation familiale et les ressources de votre foyer.
       
    • L’Allocation d’aide au retour à l’emploi (ARE), attribuée par Pôle Emploi, apporte un soutien financier aux personnes ayant perdu involontairement leur emploi et justifiant, à la date de fin de leur contrat de travail, d’une période de travail d’au moins 130 jours ou 910 heures dans les 24 derniers mois.
       
    • Les bourses étudiantes telles que la bourse sur critères sociaux (BCS), l’aide au mérite ou l’aide d’urgence sont attribuées par le CROUS sous certaines conditions aux étudiants en difficultés. Vous pouvez également prétendre à la bourse aux Talents, la bourse Erasmus+, l’aide à la mobilité pour l’étudiant en Master ou encore l’aide à la mobilité internationale attribuées, quant à elles, par les établissements d’enseignement supérieur. Certaines communes proposent également le Revenu minimum étudiant (RME) aux jeunes en situation de précarité. Pour en savoir plus, renseignez-vous auprès de votre mairie.

    Bon à savoir

    Renseignez-vous auprès de votre Centre communal d’action sociale (CCAS) ou des services sociaux de votre département pour connaître les aides financières auxquelles vous avez droit. Vous pouvez également vous rendre sur la plateforme sur le site mes-aides.gouv.fr pour simuler les aides auxquelles vous pouvez prétendre.

    La Macif offre à ses sociétaires un accès* au simulateur Toutes mes aides qui permet de trouver les aides (gouvernementales, régionales, locales…) adaptées à sa situation. Découvrez-le ici

    *Offre réservée aux 100 premiers sociétaires ayant activé leur compte Toutes mes aides. Une fois ce nombre atteint, l’activation par ce lien ne sera plus possible

    L’Essentiel de l’article

    • Renseignez-vous sur les aides pour vous loger (APL, aide Mobili-jeune…).
    • Demandez la Complémentaire santé solidaire pour vous soigner.
    • Checkez les aides pour vous déplacer (carte Avantage Jeune, gratuité…).
    • Demandez les aides aux revenus (RSA, prime d’activité…) pour vivre au quotidien.

    (1) Chiffres en vigueur au 01/11/2021

    (2) Drees, Enquête nationale sur les ressources des jeunes, 2020

  • Ado : comment trouver un job avant ses 18 ans ?

    Ado : comment trouver un job avant ses 18 ans ?

    Votre ado souhaite travailler pendant les vacances ou le week-end ? L’accès aux jobs pour les mineurs est difficile, mais des opportunités existent dans des secteurs qui peinent à recruter ou qui connaissent des pics d’activité ! On fait le point.

    Bon à savoir

    • Pour les jeunes de 14 à 16 ans, une autorisation du représentant légal (parent) de postuler/recruter est nécessaire pour être embauché.
    • Les adolescents de 17 ans peuvent travailler pendant les vacances scolaires, mais le temps de travail doit être égal au temps de repos.
    • Le nombre d’heures de travail par jour pour les mineurs est de 8h maximum, et 35h par semaine. Ils ne peuvent pas travailler le soir entre 22h et 6h.


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    Les services à la personne

    Votre ado est plutôt débrouillard, fait preuve de patience et de maturité ? Les services à la personne peuvent être une bonne option pour lui ! Garder des enfants, promener un chien, nourrir des animaux domestiques, tondre la pelouse, faire des ménages… Jeunes garçons et jeunes filles peuvent aisément gagner de l’argent en donnant un coup de pouce à des particuliers débordés par leurs tâches ménagères ou des parents qui veulent souffler un peu.

    Il existe de nombreuses associations et entreprises spécialisées dans le service à la personne. N’hésitez pas à accompagner votre enfant pour déposer un CV. Faites aussi savoir autour de vous que votre ado recherche un petit boulot !


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    Les extras en hôtellerie-restauration

    Extras, service en salle ou au drive, plonge, femme ou valet de chambre… Votre enfant peut déposer sa candidature auprès des chaînes de restauration, des restaurants traditionnels et autres hôtels. L’occasion rêvée pour les jeunes, dynamiques, sociables, et à l’écoute, de décrocher un job pendant les heures de repas la semaine, ou les week-ends. À noter que les mineurs peuvent être employés dans un bar ou un restaurant mais ils ne sont pas autorisés à servir de l’alcool (1).

    Vous souhaitez épargner pour financer vos études ?

    Ça commence dès maintenant, avec le livret Jeune de la Macif, dédié aux 12-25 ans !


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    L’animation auprès des enfants

    Chanter à tue-tête “Une souris verte”, raconter des histoires, initier à des activités manuelles ou ludiques, organiser des tournois de football et autres défis sportifs… Ça peut plaire à votre ado ? Pendant les vacances scolaires et le temps périscolaire, les communes et les centres de loisirs font appel à des animateurs. Pour mettre toutes les chances de son côté et être recruté, votre enfant doit faire preuve de dynamisme, de bonne humeur et savoir gérer son stress. Vous pouvez aussi lui proposer de passer le BAFA (Brevet d’Aptitude aux Fonctions d’Animateur), accessible dès 17 ans, pour être recruté plus facilement, mais il n’est pas obligatoire pour exercer.


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    Les travaux saisonniers agricoles

    Maraîchage, vendanges, collecte de céréales, cueillette du muguet, conditionnement, vente à la ferme, castration du maïs… Si votre ado aime la nature et le travail en plein air, pourquoi ne pas postuler pour devenir saisonnier agricole ? D’autant plus que chaque année, c’est la chasse à la main-d’œuvre dans les milieux agricoles et viticoles. Les missions proposées ne requièrent pas de connaissances ou de compétences particulières. Juste de la motivation et une bonne condition physique. Une aubaine pour les mineurs !

    Bon à savoir

    Sur la base d’un Smic, la rémunération d’un jeune est minorée de 20 % avant 17 ans, et de 10 % entre 17 et 18 ans. Ces minorations sont supprimées, dès lors que le mineur a déjà 6 mois de pratique professionnelle dans la branche qui l’emploie.

    Votre ado a entre 12 et 17 ans ?

    Apprenez-lui à suivre et à gérer simplement ses dépenses grâce à la carte prépayée Macif, qui ne nécessite pas d’ouverture de compte bancaire !*

     

    Macif agit en qualité de sous-distributeur de la carte prépayée 12-17 ans Mastercard émise par Prepaid Financial Services.
     
    *voir conditions du contrat
     

    L’Essentiel de l’article

    • Les mineurs ne peuvent pas travailler plus de 8 heures/jour.
    • Les services à la personne, un secteur pourvoyeur d’emplois des jeunes.
    • Une bonne condition physique est requise pour être saisonnier agricole.
    • Le salaire est minoré de 20 % en dessous de 17 ans.

    (1) Gouv.fr, Emploi et accueil de jeunes âgés de moins de 18 ans dans les débits de boissons à consommer sur place, 2021

  • Étudiants : quelles aides pour financer vos études supérieures ?

    Étudiants : quelles aides pour financer vos études supérieures ?


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    L’alternance ou l’apprentissage pour goûter au monde du travail

    L’alternance et l’apprentissage dans le supérieur présentent plus d’un atout ! En plus de vous permettre de vous familiariser avec le monde du travail, ces deux formules permettent de gagner en liberté financière. Vos frais de scolarité sont pris en charge par votre entreprise et vous percevez même un salaire (entre 18 et 20 ans, c’est environ 43 % du SMIC, soit 774,77 euros (1)). Un coup de pouce non négligeable en tant qu’étudiant ! Rendez-vous sur les pages recrutement des sites des entreprises et sur les moteurs de recherche d’offres d’emploi pour postuler.

    Chiffre-clé

    56 % (2) des jeunes indiquent n’avoir pas pu suivre une formation à cause de son coût.


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    Des aides pour les étudiants modestes

    Financée par l’État, la bourse d’enseignement supérieur sur critères sociaux est accordée aux étudiants qui ont des difficultés à financer leurs études. Le montant de la bourse varie en fonction de votre situation financière, familiale et la distance entre votre lieu de résidence et votre établissement d’enseignement. En tant qu’étudiant, vous pouvez aussi prétendre à l’allocation spécifique annuelle (ou ponctuelle selon vos besoins) délivrée par le Crous. Vous préparez un diplôme d’infirmier, d’éducateur spécialisé ou d’opticien-lunetier ? Sachez que votre région peut également vous attribuer une aide spécifique si vous êtes inscrit dans une formation sanitaire, sociale ou paramédicale.

    Vous souhaitez étudier à l’étranger ?

    La Macif vous accompagne pour partir sereinement.


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    Des bourses au mérite pour les élèves à la mention

    Vous avez décroché une mention “très bien” au baccalauréat ? Félicitations ! Sachez que cette mention peut vous permettre d’obtenir l’aide au mérite. Pour en bénéficier, rendez-vous sur le site messervices.etudiant.gouv.fr pour y déposer un dossier social étudiant. Certaines écoles privées, par le biais de leur fondation, proposent également des aides financières ou des réductions de frais d’inscription aux meilleurs élèves boursiers au concours d’entrée. Renseignez-vous !


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    Des aides à la mobilité pour voyager

    Si vous êtes boursier au lycée et que vous commencez vos études supérieures dans une autre région française, alors vous êtes éligible à l’aide à la mobilité Parcoursup dont le montant est de 500 €. Pour les étudiants en 1ère année de Master, l’aide s’élève à 1.000 euros.

    Vous avez envie de réaliser vos études ou votre stage à l’étranger ? Alors vous pouvez peut-être obtenir l’aide à la mobilité internationale accordée par les régions. Renseignez-vous auprès de votre collectivité pour connaître les modalités d’attribution et la somme dont vous pouvez bénéficier. Et si votre séjour à l’étranger se déroule dans le cadre du programme Erasmus+, vous pouvez prétendre à la bourse Erasmus+. Cette aide est attribuée aux étudiants qui effectuent une partie de leurs études dans un pays étranger européen, dans le cadre d’un échange inter-établissement.


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    Un coup de pouce grâce au crowdfunding

    À défaut d’obtenir une bourse ou une aide, pourquoi ne pas opter pour le crowdfunding, ou financement participatif en français ? Le principe est simple : vous lancez une cagnotte en ligne pour réunir les fonds nécessaires à votre scolarité, notamment les frais d’inscription. Il existe d’ailleurs des plateformes spécialement destinées aux étudiants. Tentez-votre chance !
     

    Étudiants : quelles aides pour financer vos études supérieures ?

     

     

    La Macif se mobilise contre la précarité étudiante

    Pour répondre dans l’urgence aux difficultés rencontrées par les étudiants, la Macif consacre un fond d’urgence de 100 000 euros pour accompagner les étudiants les plus fragilisés. Cette aide financière sera versée aux associations partenaires de la Macif (Agorae, Secours populaire, Linkee, Jardins de Cocagne…).

    De plus, la Macif a décidé de mobiliser son dispositif Macif Solidarité Coups Durs pour permettre aux étudiants d’avoir un espace de soutien et d’écoute active, afin d’évaluer leur niveau de détresse et les orienter, en fonction, vers les aides ou structures de proximité existantes.

    L’Essentiel de l’article

    • En alternance ou en apprentissage, votre formation est financée par l’entreprise et vous percevez un salaire.
    • L’État et les Régions proposent des bourses aux étudiants pour financer leurs études.
    • Le prêt étudiant garanti par l’État permet d’emprunter jusqu’à 15 000 € sans preuve de revenus.

    (1) service-public, Contrat d’apprentissage, 2025

    (2) Diplomeo, Les jeunes et l’argent, 2019

    Studyrama, Combien coûte une inscription dans l’enseignement supérieur ?, 2021

    Diplomeo, Le guide des écoles Hôtelières en France et dans le Monde !

  • Activités extra-scolaires : quelles aides disponibles pour alléger votre budget ?

    Activités extra-scolaires : quelles aides disponibles pour alléger votre budget ?


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    Droit au but avec votre entreprise !

    Votre enfant arrive la bouche en cœur : « s’il te plaît, inscris-moi au judo, cette année ! ». Pour lui faire plaisir sans que votre portefeuille ne fasse grise mine, pensez aux coupons sport de l’Agence nationale pour les chèques vacances (ANCV). Ces coupures nominatives de 10 à 20 € aident à financer les adhésions, licences, stages sportifs… Leurs conditions d’attribution sont propres à chaque entreprise et parfois, une participation financière peut vous être demandée. Pour savoir si vous êtes éligible au coupon sport, renseignez-vous directement auprès du Comité social et économique (CSE) de votre entreprise ou l’amicale du personnel. Un bon plan pour optimiser votre budget familial !

    À savoir

    Désormais, inutile de fournir un certificat médical pour inscrire votre enfant à un club de sport, il suffit de remplir un simple questionnaire de santé (1).

    Le saviez-vous ?

    La Fondation d’entreprise du Groupe Macif soutient de nombreuses initiatives solidaires favorisant la pratique sportive comme les associations Mobil’Sport et la Recyclerie Sportive.


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    Les collectivités locales, un soutien pour les familles modestes

    Votre enfant vous a parlé d’un atelier cirque organisé par le Centre socioculturel (CSC) de votre commune ? Sachez que ces centres proposent des activités à des prix intéressants et adaptés à votre quotient familial. Pour garder votre famille en forme et l’aider à se cultiver, vous pouvez aussi profiter de réductions et de coupons sport et culture distribués par votre collectivité locale. Certaines associations sportives et culturelles locales prennent également en charge les frais d’inscription et les coûts de matériel pour votre enfant.


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    Soulager le budget des familles grâce aux aides de la CAF

    Vos revenus sont trop modestes pour inscrire votre enfant à ce cours d’art plastique ? La CAF propose des tickets loisirs jeunes et des Pass’ Loisirs. Des aides financières (attribuées sous conditions et variables selon les départements) pour chacun de vos enfants pour payer une activité extra-scolaire. Si vous pouvez y prétendre, vous recevrez automatiquement une notification de droits. Ouvrez l’œil pour gagner quelques précieux euros !

     

    Activités extra-scolaires : quelles aides disponibles pour alléger votre budget ?

     

    Vous êtes sociétaire Macif ?

    Bénéficiez de réductions sur de nombreuses activités à faire en famille grâce à Macif Avantages !

    L’Essentiel de l’article

    • La CAF, l’ANCV et certains CSE proposent des aides pour les activités extra-scolaires.
    • Votre collectivité locale et certaines associations peuvent vous proposer des activités à des prix intéressants.

    (1) Légifrance.gouv, Décret n°2021-564 du 7 mai 2021

  • 4 choses à considérer avant d’adopter un animal de compagnie

    4 choses à considérer avant d’adopter un animal de compagnie


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    Bien choisir son animal : renseignez-vous sur son profil

    Avant d’adopter, cernez le type d’animal qui vous correspond, selon votre mode de vie, la composition de votre foyer, vos envies et votre budget. Vous avez un enfant en bas âge ? Préférez alors un compagnon doux et affectueux pour garantir la bonne cohabitation de votre animal avec bébé. Votre famille est adepte des longues randonnées et des sorties à vélo ? Alors un chien sportif sera le partenaire idéal. Chiens, chats, rongeurs, oiseaux, poissons… N’hésitez pas à vous renseigner auprès des professionnels sur leur caractère, leurs besoins, leur taille à l’âge adulte ou leurs éventuels problèmes de santé, pour choisir le bon candidat.

    Le saviez-vous ?

    L’abandon d’un animal est considéré comme un acte de cruauté et est puni par la loi de deux ans d’emprisonnement et de 30 000 euros d’amende (1).


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    Prévenir les réactions allergiques : optez pour un animal sans poils !

    Faire cohabiter une boule de poils et une personne allergique aux animaux (ou plutôt aux protéines allergisantes présentes dans leurs poils et dans leur salive) peut être très problématique. Quelques minutes après le contact avec l’animal, l’allergie se manifeste souvent par des éternuements, de la toux, des démangeaisons… Le risque ? Déclencher des crises d’asthme, en particulier chez votre enfant. Si un membre de votre famille est allergique, l’adoption d’un chat ou d’un chien hypoallergénique (généralement nu ou ayant très peu de poils), d’un poisson, ou d’un oiseau est envisageable. Renseignez-vous !

    Le bon réflexe à avoir :

    En France, environ 3 % (2) de la population est allergique aux animaux domestiques. Avant d’adopter un animal, assurez-vous qu’il n’y ait pas de terrain allergène dans la famille. Passez un week-end chez une personne qui en possède un par exemple, pour vérifier qu’aucun symptôme d’allergie n’apparaisse chez l’un de vos proches. Si c’est le cas, veillez à passer un test chez un allergologue afin de confirmer le diagnostic.


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    Prévoir un espace adapté pour son animal : veillez à sécuriser votre logement !

    Nul besoin d’avoir un grand appartement ou un jardin XXL pour accueillir un animal (même si un petit espace de verdure est appréciable). Les animaux domestiques ont surtout besoin d’un coin bien à eux, où ils pourront se sentir en sécurité et se reposer. Il convient donc de prévoir un espace suffisamment spacieux pour installer arbre à chat, bac à litière, panier ou cage, gamelles et autres accessoires. Par ailleurs, pensez à sécuriser vos ouvertures (fenêtres, balcons, terrasses…) et vos prises électriques, mais aussi à éloigner tout objet ou produit dangereux afin d’assurer la sécurité de votre animal à la maison.


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    Garantir le bien-être de son animal : ayez du temps et de l’argent à lui consacrer

    Avoir un animal demande du temps et de l’affection. Vous devez donc être sûr de pouvoir le câliner, le sortir (même par mauvais temps !), le soigner, le nourrir… aujourd’hui, mais aussi à long terme, car l’adoption d’un animal, c’est pour toute sa vie ! D’autre part, cela génère des frais (variant selon l’animal) et demande de l’organisation. Anticipez donc vos dépenses (nourriture, vétérinaire, toilettage, produits d’hygiène, mode de garde, équipements, etc.) et les solutions possibles de garde lorsque vous avez des déplacements professionnels ou que vous partez en vacances, si nous ne pouvez pas l’emmener avec vous.

    Chiffres-clés

    Le budget annuel moyen pour un chat, incluant l’alimentation et les frais vétérinaires, s’élève à 615,78 € (3). Pour un chien, il peut varier selon sa taille entre 281,12 € et 949,65 € (3).

    Prenez soin de votre fidèle compagnon !

    Avec Macif Assurance Chien Chat, optez pour un contrat qui répond aux besoins de votre animal de compagnie et qui vous permet de maîtriser le tarif de votre assurance chien ou chat.

    L’Essentiel de l’article

    • Renseignez-vous sur le type d’animal que vous souhaitez adopter.
    • Assurez-vous qu’aucun membre de votre famille ne soit allergique.
    • Veillez à aménager et à sécuriser votre logement avant l’arrivée de votre animal.
    • Renseignez-vous sur les solutions possibles de garde d’animaux.

    (1) Service-Public, Comment signaler une maltraitance animale et quelles sont les sanctions ?, 2020

    (2) Atmo, « Au poil », l’allergie !, 2019

    (3) Idealo, Étude : Accueillir un chat ou un chien : check-list et budget, 2021

  • Budget vacances : quelles sont les aides financières pour partir en famille ?

    Budget vacances : quelles sont les aides financières pour partir en famille ?


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    Des aides financières pour soulager le budget des familles

    Parce que les vacances sont aussi l’occasion de resserrer les liens familiaux, la Caisse d’Allocations Familiales (CAF) favorise le départ des familles dans des structures labellisées de qualité. Vous avez un ou plusieurs enfants à charge et vous recevez au moins une prestation familiale (2) ? Alors vous pouvez peut-être obtenir l’Aide aux Temps Libre (ou chèques vacances) et/ou l’Aide aux Vacances Familiales (AVF). Renseignez-vous auprès de votre CAF pour connaître le montant maximal du quotient familial pour y prétendre et la somme dont vous pouvez bénéficier.

    Il existe également des aides au transport pour vous rendre sur votre lieu de vacances. Le billet de congé annuel, la carte Enfant + et la carte famille nombreuse proposés par la SNCF permettent de bénéficier toute l’année de tarifs avantageux. Un bon plan pour alléger votre budget familial !


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    Un soutien financier aux foyers modestes

    Les familles les plus précaires peuvent également solliciter les services sociaux de leur commune, notamment le Centre Communal d’Action Sociale (CCAS) pour demander une subvention. Celle-ci est calculée en fonction du quotient familial et du projet de vacances.

    Autre structure vers qui les foyers à faibles revenus peuvent se tourner : l’Agence nationale des chèques vacances (ANCV). Sa Bourse Solidarité Vacances (BSV) (3) est destinée aux personnes en difficulté économique ou sociale, capable de partir de façon autonome, mais nécessitant une aide pour organiser leur séjour. Elle vous permet de profiter de logements et de loisirs solidaires à tarifs réduits de 50 % à 70 % (3).

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    Le coup de pouce des associations caritatives

    Certaines associations, soutenues par la Fondation Macif, organisent des vacances solidaires. À l’instar du Secours Populaire et son initiative “Famille de vacances”, qui propose des séjours dans des familles d’accueil pour les enfants dont les familles connaissent des difficultés financières. L’association Vacances Ouvertes, quant à elle, soutient des projets de vacances en direction des familles, des adultes isolées et des jeunes de 16 à 25 ans. Son action permet aux bénéficiaires d’organiser et de vivre leur séjour dans les meilleures conditions, selon leurs envies et leurs possibilités. Pour bénéficier de cette aide, vous pouvez également vous tourner vers le Secours Catholique ou La Croix-Rouge qui œuvre près de chez vous.

    Le saviez-vous ?

    La Macif soutient l’initiative « famille de vacances » du Secours Populaire !

    Le saviez-vous ?

    Le Réseau Passerelles est un dispositif national qui permet aux familles ayant un enfant en situation de handicap de partir en vacances. Sur place, une équipe d’éducateurs spécialisés assure l’accueil et la prise en charge de votre enfant. La CAF finance le surcoût lié au dispositif d’accompagnement (matériel médical, soins, etc.).


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    Les avantages des comités d’entreprise

    Si vous êtes salarié, n’hésitez pas à vous tourner vers votre comité social et économique (CSE) pour disposer de bons plans, de chèques vacances ou encore de réductions. C’est l’occasion de bénéficier de séjours en famille à prix attractifs ou de financer une colonie de vacances à vos enfants.
     

    Budget vacances : quelles sont les aides financières pour partir en famille ?

     

    Vous êtes sociétaire Macif ?

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    L’Essentiel de l’article

    • La CAF, l’ANCV et certains CSE proposent des aides pour partir en vacances.
    • Économisez sur le coût du transport grâce aux réductions de la SNCF.
    • Des associations permettent aux familles les plus modestes de bénéficier de séjours sur-mesure.

    (1) Observatoire des inégalités, Départ en vacances, 2024

    (2) Caf.fr

    (3) ANCV, Bourse Solidarité Vacances – BSV

  • Comment les ados dépensent-ils vraiment leur argent de poche ?

    Comment les ados dépensent-ils vraiment leur argent de poche ?


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    Un montant qui varie selon l’âge

    Aujourd’hui, 56%(1) des adolescents reçoivent de l’argent de poche, de manière mensuelle ou hebdomadaire. Mais la somme perçue correspond aux dépenses possibles en fonction de l’âge : des friandises ou un jouet pour les plus jeunes; un vêtement ou un repas dans un fast-food pour les plus grands. Ainsi, plus votre enfant grandit, plus la somme que vous lui versez peut augmenter. Les 10-12 ans reçoivent en moyenne 24 euros par mois, les 12-14 26 euros et les 14-16 ans 32 euros. A  partir de 17 ans, vous pouvez donner à votre enfant environ 40 euros d’argent de poche.

    Pour arrondir leurs fins de mois, les ados redoublent d’imagination. Votre enfant aime se concocter des looks stylés ? Comme 49%(2) des jeunes, il est possible qu’il revende les vêtements qu’il ne porte plus pour se faire un petit complément d’argent…et s’offrir de nouvelles pépites vestimentaires ! Tandis que 39 % des ados vont plutôt voir leurs parents pour leur demander un peu de rab, 27 % optent pour le traditionnel job étudiant.


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    Des postes de dépenses très genrés

    Loisirs, shopping, culture, nourriture… Une fois l’argent de poche perçu, les adolescents vont satisfaire différentes envies. Votre enfant sort cet après-midi avec ses amis ? Entre les restaurants, les fast-foods et les grandes surfaces, l’alimentation constitue le premier poste de dépenses des adolescents (représentant plus de 4 dépenses sur 10), suivi de près par le shopping comprenant tous les achats liés au prêt à porter et autres accessoires de mode. On retrouve à la troisième place les dépenses liées au divertissement (loisirs, activités, jeux vidéos, bandes dessinées…

    Reste que l’usage de l’argent de poche est très genré : 13% des dépenses chez les filles sont liées à l’achat de vêtements(3) contre 4% chez les garçons, ces derniers étant davantage attirés par les jeux vidéos (8% de leur volume de dépenses contre 1% chez les filles).

    Chiffres-clés

    89 % (1) des adolescents paient leurs achats en espèces, faute d’être équipés d’autres moyens de paiement. Seuls 23 % (1) disposent d’une carte de paiement.


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    De l’argent de poche utilisé à bon escient

    Bénéficier d’une certaine somme à dépenser offre une certaine liberté à votre enfant. Dans les faits, 70% des jeunes affirment disposer de leur argent comme ils le veulent(4). Du côté des parents, 79% estiment que leurs enfants sont plutôt mesurés et raisonnables dans leurs dépenses et qu’ils savent faire des économies. D’autant que la très grande majorité des parents (80%) estiment que donner de l’argent de poche a une vertu pédagogique pour leur enfant.

    Le saviez-vous ?

    Vous pouvez ouvrir un compte bancaire à votre enfant mineur et y verser son argent de poche. À partir de 12 ans, votre enfant pourra retirer les sommes de son souhait (dans la limite du solde disponible sur le compte) directement dans l’établissement bancaire et avec votre accord. Les banques peuvent proposer en complément d’y associer une carte bancaire de retrait lui permettant uniquement de retirer de l’argent et non de payer avec chez les commerçants.

    Votre ado a entre 12 et 17 ans ?

    Apprenez-lui à suivre et à gérer simplement ses dépenses grâce à la carte prépayée Macif, qui ne nécessite pas d’ouverture de compte bancaire !*

    *voir conditions du contrat
    Macif agit en qualité de sous-distributeur de la carte prépayée 12-17 ans Mastercard émise par Prepaid Financial Services.

    L’Essentiel de l’article

    • L’argent de poche est un premier pas vers l’autonomie pour un ado.
    • Le montant que vous versez peut augmenter en fonction de l’âge de votre enfant.
    • Les adolescents utilisent leur argent de poche principalement pour leurs loisirs.
    • La majorité des adolescents règlent leurs achats en espèces.

    (1) Baromètre Pixpay : Les ados et l’argent de poche – 5ème édition, 09/2024

     

    (2) Harris interactive pour la Fédération Bancaire Française : Baromètre – Les enfants et l’éducation financière, 202

     

    (3) Pixpay, Que font les jeunes de leur argent de poche ?, 2024

     

    (4) Institut Poll&Roll, Les ados et l’argent, Baromètre 2021 – 2ème édition

  • Petit budget et loin des grandes villes : comment initier ses enfants à l’art ?

    Petit budget et loin des grandes villes : comment initier ses enfants à l’art ?

    Le Louvre à Paris, le Centre Pompidou à Metz ou encore les Beaux-Arts de Lyon… autant de lieux culturels difficilement accessibles si vous n’habitez pas à côté. Et lorsqu’on ajoute les transports pour s’y rendre et le prix d’entrée, votre budget peut vite grimper ! De plus, en ces temps troublés où les lieux culturels restent fermés, l’accès à la culture est restreint. Heureusement, si vous avez envie de découvrir l’art en famille, il existe des alternatives.


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    L’art depuis chez soi !

    Depuis votre smartphone ou votre ordinateur, voire depuis votre canapé, l’art n’a jamais été aussi accessible. Confinement oblige, de célèbres musées ont pris le pli du virtuel. La plupart du temps gratuites, ces visites en ligne présentent un autre avantage : celui de faire découvrir à vos enfants des musées à l’étranger, du musée Van Gogh d’Amsterdam au Guggenheim de New York en passant par le British Museum de Londres. Des visites à consommer avec modération bien sûr pour limiter l’impact des écrans sur vos enfants. Une invitation aux voyages qui tombe à pic à l’heure de (re)penser vos vacances et vos loisirs. Dans la même veine que les visites virtuelles, des programmes télévisés et des podcasts offrent une approche très pédagogique. Vous pouvez proposer à vos enfants, par exemple, d’écouter “Les Promenades imaginaires” du musée d’Orsay, pour découvrir les secrets des plus grands tableaux.


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    Découvrir le patrimoine local

    Vous préférez allier découvertes artistiques et sorties ? Les options sont multiples. Et parce qu’il n’y a pas que les « grands » musées, n’hésitez pas à vous laisser surprendre par une visite dans un petit musée local, qui expose des œuvres d’artistes natifs des environs, par exemple. Ces lieux sont tout aussi intéressants (et souvent moins chers) pour que vos enfants découvrent les bases de la peinture ou de la sculpture par exemple.

    Même refrain lorsqu’il s’agit de découvrir l’art de votre ville. C’est l’occasion de vous dégourdir les jambes en famille, pour découvrir les œuvres de street art près de chez vous. Qui trouvera la plus colorée ou la plus originale ? Et pourquoi pas profiter des circuits et balades à thèmes proposés par votre office de tourisme ? Architecture des monuments, sculpture ou encore exposition de toiles dans les rues… il y en a pour tous les goûts ! De quoi ravir même vos enfants !

    D’ailleurs, c’est peut-être dans l’une de ces villes que vous croiserez le MuMo, un musée itinérant qui sillonne la France à la rencontre des petits et grands. L’art n’est pas toujours aussi inaccessible qu’on le pense !

    La culture pour tous !

    Le Mumo, soutenu par la Fondation d’entreprise du groupe Macif, permet aux habitants des zones péri-urbaines et rurales d’accéder facilement à l’art. Renseignez-vous !

    L’Essentiel de l’article

    • De plus en plus de musées proposent des visites virtuelles sur Internet.
    • Musées locaux, balades itinérantes ou street art (…) : profitez de votre région pour découvrir son patrimoine culturel.
    • Le Musée Mobile (MuMo) sillonne la France à la rencontre des enfants.
  • Chômage d’un parent : comment en parler à votre enfant ?

    Chômage d’un parent : comment en parler à votre enfant ?

    Vous avez perdu votre travail… Pas facile de trouver les mots justes, lorsque vous êtes vous-mêmes inquiets, pour rassurer vos enfants tout en restant honnête sur la situation. Stephan Valentin, docteur en psychologie, vous livre trois précieux conseils pour gérer au mieux cet épisode qui change le quotidien de toute la famille.


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    Chômage : présentez clairement la situation

    Passer l’information sous silence n’est pas la solution. Les enfants sentent bien que quelque chose a changé, que leurs parents sont préoccupés. Ils risquent, comme souvent et à tort, de penser que c’est « de leur faute » si vous semblez un peu contrariés ces temps-ci. Mieux vaut donc expliquer clairement les choses. « On peut faire une réunion familiale pour annoncer la nouvelle avec des mots simples : “Papa ou maman a perdu son travail mais il (elle) est en train d’en chercher un autre” » suggère Stephan Valentin, docteur en psychologie.

    Il convient également de préciser à vos enfants la raison de la perte de l’emploi pour ne pas qu’ils s’imaginent que le parent a commis une faute ou qu’il a mal travaillé, mais tout simplement parce que c’est le choix de son entreprise pour des raisons économiques. Cela permet de rassurer l’enfant sur les compétences et l’image de son parent. Demandez-leur ensuite ce qu’ils ressentent et adaptez-vous à leurs questions qui, pour les plus jeunes, sont souvent assez simples : “Comment on va manger ?”, “Qui va s’occuper de moi ?”, “Qu’est-ce que c’est le chômage ?”

    Selon l’âge de votre enfant, il réalise plus ou moins la situation. Pour autant, il ne faut pas faire du chômage un sujet tabou. « Avant 3 ans, l’enfant n’est pas en mesure de comprendre mais il ressent tout de même l’ambiance de la maison. Il est donc important, s’il a des frères et sœurs plus âgés, de l’intégrer à la réunion familiale » souligne le psychologue. Organisez celle-ci lors d’un moment de détente : dans la journée (plutôt que le soir avant de se coucher), le week-end (plutôt le samedi que le dimanche, jour où les enfants se sentent parfois un peu anxieux à l’idée de reprendre l’école), par exemple.

    « Adaptez le discours en fonction de leur âge, mais aussi du tempérament de chaque enfant, plus ou moins anxieux. »

    Stephan Valentin, docteur en psychologie


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    Laissez-les à leur place d’enfant

    Soyez honnête mais ne les alarmez pas pour autant. « Expliquez-leur franchement et concrètement les conséquences que cette nouvelle situation a dans leur vie », indique Stephan Valentin. Le parent au chômage est plus souvent à la maison, il a parfois plus de temps à leur consacrer, vous devez réduire certaines dépenses superflues pour privilégier celles qui sont nécessaires, manger à la maison plutôt que d’aller au restaurant, changer les plans des vacances ou attendre les promotions pour changer de garde-robe…

    Vous avez le moral en berne suite à la perte de votre emploi ? Vos enfants doivent certainement le ressentir. Là encore, allez au-devant de leurs questions et répondez-y. Faites-leur toutefois comprendre que c’est à vous de travailler sur votre tristesse et qu’ils n’y sont absolument pour rien.

    « Assurez-leur que, quoi qu’il arrive, vous êtes toujours là pour eux (les câlins et les bisous ne manqueront pas), et rappelez-leur que c’est aux adultes de gérer cette situation », poursuit le docteur en psychologie.

    Attention à l’écueil qui guette souvent les parents : même si vous souhaitez être le plus honnête possible avec votre enfant, celui-ci n’est pas votre confident. Évitez de partager avec lui les détails de votre situation ou l’état de votre compte en banque, insistez pour qu’il aille se détendre et jouer avec ses amis. « Les enfants doivent sentir que vous pouvez gérer seul ou avec l’aide de vos proches  de la famille, des amis  la situation », souligne Stephan Valentin.

    « Faites confiance à votre enfant, il est capable de s’adapter. »

    Stephan Valentin, docteur en psychologie


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    Aidez-les à se projeter dans l’avenir

    Le chômage ne dure généralement qu’un temps, vous cherchez du travail et vous espérez en retrouver le plus rapidement possible. Pour Stephan Valentin, il est « important de se projeter dans l’avenir, de rappeler à son enfant que c’est une étape difficile mais souvent temporaire. C’est important pour votre enfant de voir que vous avez confiance en l’avenir et que vous faites votre possible pour surmonter l’épreuve du chômage ».

    Davantage que la console hors de prix, ce qui lui importe le plus, c’est que vous soyez là pour vous occuper de lui.

    L’Essentiel de l’article

    • Organisez une réunion de famille pour annoncer la nouvelle.
    • Expliquez avec des mots simples et répondez aux questions de chacun.
    • Projetez-vous dans l’avenir et dites-leur que vous recherchez déjà un nouvel emploi.
  • 7 activités pour passer un bel été en ville

    7 activités pour passer un bel été en ville

    Même si vous ne partez pas en vacances cette année, il n’empêche que les températures grimpent et les envies d’évasion se font sentir. La ville prend aussi ses quartiers d’été pour offrir à ses habitants des solutions pour s’évader sans se ruiner.


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    Redécouvrir son quartier et sa région

    Si vous travaillez cet été, c’est l’occasion de délaisser les transports en commun pour prendre un autre itinéraire… à pied, si c’est possible. Marcher 15 minutes matin et soir, c’est suffisant pour vous dégourdir les jambes et découvrir les jolies ruelles de votre quartier et pourquoi pas, les œuvres de street art qu’elles recèlent. En vacances à la maison, faites cette grande promenade que vous n’avez jamais eu le temps de faire, ou partez à la découverte des sites historiques de votre région grâce aux parcours-découverte proposés par votre office de tourisme. Architecture, patrimoine, gastronomie, ou encore lieux insolites, il y en a pour tous les goûts. De quoi ravir toute la famille ! Pour une visite plus ludique, certaines villes proposent même de s’immerger dans l’histoire, à travers des visites en costumes d’époque, par exemple. D’autres proposent de suivre un marquage au sol ou un plan interactif sur son téléphone, pour parcourir les rues sans rien manquer.

    Le saviez-vous ?

    45 sites français (1) figurent sur la liste incontournable du patrimoine de l’Unesco, répartis sur tout le territoire. De quoi bien s’occuper pendant vos vacances !

    Chiffre-clé

    Pour un adulte, 150 minutes (2) d’activité physique par semaine sont recommandées pour être en bonne santé.


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    Assister à un concert ou une séance de cinéma en plein air

    Redécouvrir les répliques de votre film culte à la belle étoile, esquisser quelques pas de danse sur un air entêtant, il ne suffit pas de grand-chose pour se laisser happer par la douce atmosphère des soirées d’été. De nombreux festivals sont maintenus cet été un peu partout en France. Certaines mairies mettent à disposition des sièges et des transats pour profiter de votre soirée dans des conditions optimales. Profitez-en, tout en respectant bien entendu les gestes barrières !


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    Faire un tour en vélo, en trottinette, en rosalie…

    Depuis quelques années, l’espace public urbain se transforme pour laisser davantage de place aux mobilités douces. Vous vivez près des vignobles ? Partez à vélo sur la route des vins, à la découverte des châteaux, mais également de la gastronomie locale. Vous êtes plutôt fan de cinéma ? Arpentez la ville à la recherche de lieux où des films, plus ou moins connus, auraient pu être tournés. Pour une simple balade en famille, le tandem, la trottinette ou la rosalie – un carrosse à pédales – sont des alternatives qui peuvent enthousiasmer vos enfants. Tour du lac, flânerie le long des quais… Toutes les facettes de votre ville sont bonnes à explorer !

    Bon à savoir

    Prenez toujours bien soin de baliser votre parcours pour être sûr de rouler en toute sécurité sur des pistes cyclables lors de votre balade.


    4

    Faire un tour en bateau

    Nombreuses sont les villes qui proposent désormais des balades en bateau. Lyon, Paris, Toulouse ou encore Bordeaux… prenez le large pendant quelques instants pour découvrir sous un autre angle les monuments emblématiques de votre ville. Une expérience inédite, qui ravira les petits comme les grands ! Et si vous en avez la possibilité, un tour en pédalo ou en barque vous donnera aussi l’occasion de vous évadez quelques heures !

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    Passer une journée dans un parc d’attractions

    S’il y a un paradis pour les enfants, c’est bien celui des parcs de loisirs. En raison de la crise sanitaire du coronavirus, le respect les règles d’hygiène reste d’actualité : port du masque, désinfection au gel hydroalcoolique à plusieurs carrefours et points clés des parcs, marquages au sol et distanciation sociale dans les files d’attente. Une fois ces gestes barrières appliqués, il ne vous reste plus qu’à profiter des attractions. Les émotions (fortes) sont toujours au rendez-vous !

    Vous êtes sociétaire Macif ?

    Bénéficiez de réductions sur de nombreuses activités en famille grâce à Macif Avantages !


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    Pique-niquer dans un parc ou au bord d’un fleuve

    Pour casser la routine des repas pris à la maison alors que le soleil brille dehors, mettez tomates cerises et chips dans un panier, et partez à la recherche du meilleur spot pour pique-niquer. En famille ou entre amis (dans la limite de 10 personnes), pieds nus dans l’herbe, chapeau vissé sur la tête, les vacances comme si vous y étiez ! En compagnie d’enfants, prévoyez de la crème solaire pour les protéger des coups de soleil, sans oublier ballon, pistolets à eau, jeux de société… Et un bon livre pour profiter du calme si vous en trouvez ! Pensez aussi au pique-nique du soir : en été, les parcs ferment généralement plus tard.


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    Participer à un tournoi de jeux de société ou organiser des olympiades

    Le combo gagnant d’un été urbain ? Un déjeuner en plein air dans un parc de la ville suivi d’olympiades en famille ! Peu de préparation et un minimum de matériel pour un maximum de plaisir. Course en sac, course dos à dos et autres jeux d’équilibre sont autant d’épreuves à faire seul ou en équipe ! Pour occuper les plus petits, un parcours d’obstacles avec des plots et des cerceaux par exemple, est une excellente alternative pour développer leur motricité. Pensez également à l’option chasse aux trésors pour varier les plaisirs d’une après-midi à l’autre. Il pleut ? Organisez un tournoi de jeux de société en intérieur !

    L’Essentiel de l’article

    • À pied ou à vélo, prenez le temps d’explorer votre ville et votre quartier.
    • Profitez des animations culturelles organisées près de chez vous.
    • Redécouvrez votre région et ses sites historiques.

    (1) OMS, Activité physique pour les adultes
    (2) Unesco, France