Étiquette : Mobilités

  • Comment garantir la sécurité et le bon entretien de sa voiture électrique ?

    Comment garantir la sécurité et le bon entretien de sa voiture électrique ?


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    Préserver la batterie de sa voiture électrique

    Pour recharger la batterie de votre véhicule électrique, branchez-la sur une borne de recharge publique ou directement sur une prise standard à votre domicile. Pour la deuxième solution, il est recommandé de faire vérifier votre installation électrique par un professionnel afin d’éviter tout risque de surchauffe de votre batterie. Il est conseillé de ne pas charger totalement sa batterie pour laisser de la marge à la régénération liée au freinage.

    Par ailleurs, comme la charge d’une voiture électrique entraîne la circulation de courants importants, il faut vérifier que le câble de chargement, le connecteur et le chargeur embarqué du véhicule ne vous semblent pas endommagés afin d’éviter les risques d’électrocution à la maison. Au moindre doute, consultez un professionnel. Veillez également à stationner votre voiture à l’abri du froid et de la chaleur pour préserver sa batterie.

    Chiffre-clé

    29 854 (1). C’est le nombre de points de recharge installés dans des espaces publics (rues, parkings, aires d’autoroute…) en France.


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    Bien entretenir sa voiture électrique

    C’est du bon sens, mais il est toujours utile de le rappeler : l’eau et l’électricité ne font pas bon ménage ! Alors, ne lavez jamais votre voiture pendant que sa batterie est en charge. De manière générale, il vaut mieux ne pas utiliser de jet haute pression sous le châssis, près du moteur et des organes électriques pour ne pas causer de court-circuit, et autres dégâts sur votre véhicule électrique.

    Pour maintenir sa performance dans le temps, une révision régulière de votre voiture électrique est indispensable. Confiez les opérations de maintenance à un professionnel qualifié, agréé et détenant un certificat spécifique, car celles-ci se font sous une forte tension (de 400 à 700 volts), avec des risques d’électrocution importants.


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    Adapter sa conduite à sa voiture électrique

    Le bon entretien de votre véhicule électrique passe aussi par votre conduite. Que ce soit en ville ou sur l’autoroute, évitez les accélérations agressives ou encore les freinages trop brusques afin de ménager l’autonomie de votre batterie. La règle est donc d’adopter une conduite souple et modérée. Pensez également à utiliser le freinage régénératif de votre véhicule électrique. Cette technologie permet d’optimiser l’autonomie du véhicule via la recharge des batteries. En plus, vous préservez vos plaquettes de frein. C’est tout bonus !

    Autre ajustement à faire si vous passez à la technologie électrique pour rouler vert : vérifier le bon fonctionnement du système d’avertisseur acoustique de véhicule (AVAS)… car les voitures électriques doivent faire du bruit quand elles roulent au pas ou qu’elles reculent ! Ce système permet aux piétons et autres usagers de la route de détecter la présence de votre véhicule et donc de prévenir les risques d’accidents. Si la voiture n’émet aucun bruit ou un son qui vous paraît anormal, rendez-vous chez un professionnel agréé pour vérifier le bon fonctionnement du système.

    À savoir

    Votre voiture hybride ou électrique est un ancien modèle ? Veillez à faire installer par un professionnel un dispositif AVAS, c’est obligatoire à partir du 1er juillet 2021 (2) !

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    * Un crédit vous engage et doit être remboursé. Vérifiez vos capacités de remboursement avant de vous engager.

    L’Essentiel de l’article

    • Des précautions sont à prendre pendant la charge et lors du lavage du véhicule.
    • Les opérations de maintenance d’un véhicule électrique doivent être faites par un professionnel agréé et ayant suivi la formation adéquate.
    • Tous les véhicules électriques doivent être équipés d’un système d’avertisseur acoustique de véhicule (AVAS) à compter du 1er juillet 2021.

    (1) Avere-France.org, Suivez la progression du marché du véhicule électrique, 2020
    (2) Avere-France.org, L’Europe souhaite que les véhicules électriques soient moins silencieux, 2019
  • Étudiant : des astuces pour bien gérer son budget transport

    Étudiant : des astuces pour bien gérer son budget transport

    Gérer sa vie étudiante sans se retrouver dans le rouge en fin de mois peut être une sacrée gymnastique. Mais des bons plans existent pour réduire vos coûts de transport.


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    Optez pour les transports doux

    Pour réduire les frais liés à vos déplacements, préférez les transports doux à la voiture. Vélo, skate, trottinette et scooter électrique… l’offre se développe. Certaines collectivités offrent même un coup de pouce financier pour faire réparer son vélo. Tandis que certaines universités nouent des partenariats avec des associations qui apprennent aux étudiants à effectuer eux-mêmes leurs réparations sur leur bicyclette ! Renseignez-vous sur votre campus !


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    Privilégiez le covoiturage

    Trouver ou proposer un covoiturage pour vos trajets quotidiens pour vous rendre à la fac ou rendre visite à vos proches le week-end, est une autre solution pour maîtriser votre budget transport en plus de limiter votre empreinte carbone ! Le court-voiturage domicile-travail ou université se démocratise. À Paris, Lyon, Toulouse, Bordeaux, Lille, Nantes, Rennes et Grenoble, les détenteurs d’un pass de transports en commun peuvent covoiturer gratuitement sur les plateformes partenaires de la ville. Bon à savoir !


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    Sollicitez des aides à la mobilité

    Selon votre région, vous pouvez bénéficier de différentes aides pour réduire vos frais de déplacement. Renseignez-vous auprès du service de transport en commun de vos collectivités territoriales (mairie, conseil départemental, conseil régional). Et selon votre statut et votre âge, la SNCF propose des cartes de réduction ou des tarifs préférentiels. Un bon plan pour voyager à moindre coût !

    Bon à savoir

    Si vous êtes stagiaire ou alternant dans une entreprise, votre employeur doit vous rembourser la moitié de votre abonnement(1) ou de vos titres de transport pour le trajet entre votre domicile et votre travail. Renseignez-vous !


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    Favorisez la marche

    Il n’y a pas de petites économies ! Évitez de prendre la voiture pour les petits trajets. Rejoignez votre salle de sport à pied, par exemple, si elle n’est pas trop loin. De quoi bien vous échauffer avant votre séance. Aller au supermarché à pied oblige aussi à n’acheter que l’essentiel, et donc à réduire les dépenses. Astucieux !

    Chiffre-clé

    Pour les adultes, il est recommandé de pratiquer 30 minutes(2) d’activité physique, comme faire du vélo, courir, marcher à bonne allure, au moins 5 fois par semaine.

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    *Un crédit vous engage et doit être remboursé. Vérifiez vos capacités de remboursement avant de vous engager. Organisme prêteur : Socram Banque. La Macif agit en qualité d’Intermédiaire en opérations de banque et services de paiement pour le compte exclusif de Socram Banque. N° Orias 13005670 (www.orias.fr).

    L’Essentiel de l’article

    • Des aides au transport sont octroyées par les collectivités.
    • Le co-voiturage permet de limiter les frais.
    • Vélo, trottinette, skate… permet de se dépenser physiquement tout en réduisant son budget transport.

    (1) Ministère de l’Intérieur, Transports : quelles réductions pour les jeunes, étudiants et apprentis ?, 2021

    (2) ANSES, Manque d’activité physique et excès de sédentarité : une priorité de santé publique, 2022

  • Enfant à vélo : apprendre à circuler en toute sécurité

    De par leur plus petite taille et leur manque d’expérience, les enfants font partie des usagers les plus vulnérables sur la route. Que ce soit en ville ou hors agglomération, en balade familiale ou pour aller seul à l’école, il est important que vous parliez à votre enfant des risques potentiels pour qu’il apprenne à mieux les détecter.

    Jusqu’à 12 ans

    Le port du casque est obligatoire. Au-delà, il est fortement recommandé.*

    Comprendre les risques et apprendre à maîtriser son vélo

    Joggeur qui surgit dans un virage, chat qui traverse la route, ballon de foot qui atterrit sur la chaussée ou encore voiture qui arrive très vite… À vélo, votre enfant peut faire face à de nombreuses situations inattendues ou dangereuses. Les plus jeunes ont généralement des temps de réaction plus longs et une moins bonne appréciation des distances et des allures.

    Jusqu’à 8 ans**, les enfants ont le droit de circuler à vélo sur le trottoir. En revanche, ils doivent conserver l’allure du pas et ne pas gêner les autres usagers.

    Avant d’être sur la route, apprenez à votre enfant les règles de sécurité obligatoires :

    • circuler à droite sur la chaussée et sur les pistes cyclables lorsque celles-ci existent
    • respecter la signalisation (panneaux, feux…)
    • respecter les priorités à droite

    Enseignez-lui également les bons gestes pour diminuer les risques :

    • toujours regarder à gauche et à droite avant de traverser (même si le feu est vert)
    • ralentir aux intersections même si le feu est vert
    • indiquer tout changement de direction en tendant le bras vers celle-ci
    • ne pas se coller aux autres usagers de la route, même un.e ami.e à vélo
    • ne pas zigzaguer et encore moins entre les différents éléments sur la route (voitures ou autres)
    • ne pas s’amuser à tenir le vélo à une main, ou à tenir en équilibre sans les mains

    Si vous être sur la route avec votre enfant, adoptez vous aussi les bons réflexes :

    • montrez lui l’exemple en portant les équipements de sécurité obligatoires et recommandés en cas de danger imminent
    • ne lui dites pas « attention » mais plutôt « stop », afin qu’il ne perde pas de précieuses secondes à identifier d’où vient le danger
    • mettez vous derrière lui, pour le garder dans votre champ de vision en arrivant à une intersection
    • mettez-vous à sa hauteur pour l’arrêter en cas d’urgence

     

    Lire aussi : Comment parler de la Sécurité routière aux enfants ?

     

    221 cyclistes ont trouvé la mort en 2023

    Soit 24 de moins qu’en 2022.1

    Bien s’équiper à vélo pour diminuer les risques

    Vérifiez régulièrement l’état des pièces d’usure du vélo et de l’équipement.

    En plus du casque, voici les autres équipements obligatoires à vélo pour les enfants :

    • un appareil avertisseur (sonnette)
    • un gilet haute visibilité homologué CE, hors agglomération, la nuit, ou le jour lorsque la visibilité est insuffisante (tunnel, brouillard,…)***

    Équipements conseillés :

    • un gilet d’avertissement à LED (il permet d’indiquer la trajectoire avec des clignotants sur le dos)
    • un rétroviseur à fixer sur la poignée gauche du guidon
    • des bandes réfléchissantes sur ses chaussures et son casque

    Écouteurs et casque audio interdits !

    Depuis 2015, il est est interdit de “porter tout dispositif susceptible d’émettre du son à l’oreille” (oreillette et casque audio, à l’exception d’appareil d’aide auditive).

     

    Lire aussi : Rouler et transporter son enfant à vélo

     

    * Sécurité Routière 

    ** Sénat.fr

    *** Service Public

    1 Sécurité Routière 2022

  • Automobilistes : les bons réflexes sur la route face aux cyclistes

    Automobilistes : les bons réflexes sur la route face aux cyclistes

    Partager l’espace routier, oblige chacun à faire attention à l’autre ! Au volant, il suffit d’un peu de pratique pour que des gestes simples deviennent rapidement des réflexes pour mieux protéger les cyclistes.


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    Ralentir en arrivant à un carrefour

    Depuis janvier 2012, la réglementation de la signalisation routière a changé ! L’information est parfois encore peu connue : à certains carrefours, un cycliste peut franchir les feux rouges ou orange, signalés par un panneau qui l’y autorise(2). Une mesure très pratique qui lui permet de gagner du temps. Alors, automobilistes, restez vigilants, même si le feu est vert pour vous, un cycliste peut traverser. Cette disposition se développe sur les routes françaises pour favoriser l’usage du vélo en ville.


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    Ouvrir sa portière sans mettre en danger les cyclistes

    Automobilistes, connaissez-vous la « poignée hollandaise » ? Cette technique pour éviter les collisions entre portières de voitures et cyclistes. Elle consiste à ouvrir sa portière avec la main opposée : main droite pour le conducteur, et gauche pour le passager. Elle oblige ainsi la rotation, et à porter son regard en arrière ou ne serait-ce que dans le rétroviseur. Et d’anticiper la présence d’un cycliste. Ce geste simple à adopter, a le bénéfice de se forcer à bien observer ce qu’il se passe autour de soi et à éviter la collision entre les deux-roues et les portières.

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    Respecter le Code de la route, tout simplement !

    Cela semble couler de source, et pourtant, ce rappel a ses vertus pédagogiques ! Vis-à-vis des cyclistes, le code de la route implique de conserver une distance de sécurité lorsque vous doublez un deux-roues (1 m en ville et 1,50 m hors agglomération). Il comprend également l’interdiction de stationner sur les pistes cyclables et impose de laisser libres les sas peints au sol et dédiés aux vélos à certains feux tricolores… sous peine d’amende ! Des obligations qui permettent de mieux protéger les cyclistes qui sont ainsi mieux vus des autres usagers de la route.

    Bon à savoir

    À moins que vous souhaitiez signaler un danger aux autres usagers de la route, évitez de klaxonner à proximité d’un cycliste pour ne pas l’effrayer et provoquer d’écarts brusques.


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    Gare aux cyclistes autorisés à rouler à contre-sens

    Dans les centres-villes, les vélos sont autorisés à rouler, sur certaines voies à sens unique, dans le sens inverse des voitures. Ce type de voie est signalé par un panneau et un marquage au sol. Profitable aux modes de déplacements doux, cette solution incite les automobilistes à redoubler de vigilance, les rues en sens unique étant généralement plus étroites et n’offrant pas beaucoup de visibilité. Partager l’espace oblige chacun à faire attention à l’autre !


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    Penser à mettre son clignotant

    Même si vous croyez être seul sur la route, les angles morts de votre voiture peuvent cacher un vélo, donc tournez bien la tête pour vérifier que la voie est libre. Obligatoire, n’oubliez pas de mettre votre clignotant lorsque vous tournez pour indiquer votre changement de direction et ainsi éviter un accident.

    L’Essentiel de l’article

    • On n’est jamais trop prudent, que ce soit au guidon ou au volant !
    • Renseignez-vous sur la réglementation en vigueur pour les cyclistes.
    • Ouvrez votre portière en vérifiant la présence d’un cycliste.
    • Respectez le Code de la route.

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    Profitez des ateliers de prévention routière.

    (1) Observatoire national interministériel de la sécurité routière (ONISR)

    (2) Sécurité routière, Une nouvelle signalisation pour faciliter la circulation des cyclistes à certains carrefours à feux tricolores, 2012

  • Trottinettes électriques : la sécurité avant tout !

    Trottinettes électriques : la sécurité avant tout !


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    Quels sont les dangers en trottinette électrique ?

    Alors que 900.000(1) trottinettes électriques ont été vendues en France en 2021, cette mobilité alternative n’est pas sans risque. Particulièrement plébiscitée dans les grandes villes, où la circulation est souvent dense, elle rend ses usagers tout aussi vulnérables que les cyclistes. Si le danger peut venir des autres (changements de directions des voitures sans vérifier les angles morts, piétons qui traversent sans toujours faire attention ou hors des passages piétons…), il peut aussi venir de l’usage qu’on en fait.

    En effet, plus lourdes qu’une trottinette classique, les trottinettes électriques peuvent être difficiles à manier, augmentant le risque de chute. Des chutes qui, selon la vitesse et la situation dans laquelle on se trouve, peuvent être particulièrement graves.


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    Apprendre à conduire une trottinette électrique

    Veillez à choisir un modèle de trottinette en fonction de l’utilisation que vous comptez en faire et du revêtement que vous allez emprunter le plus souvent. Préférez des roues larges et hautes pour les revêtements non lisses, type pavés ou gravillons par exemple. Si vous roulez sur du bitume, vous pouvez vous permettre tout type de roue.

    La première étape avant de commencer à conduire une trottinette électrique est de découvrir et comprendre comment elle fonctionne. N’hésitez pas à lire le manuel d’instructions et à vous familiariser avec les différentes commandes. Vous pouvez également vous renseigner auprès de votre mairie ou d’organisations agréées pour savoir si des sessions d’initiation sont organisées. Il est également important de veiller à ce que la trottinette soit en bon état général et que les freins fonctionnent correctement.

    Une fois que vous vous sentez à l’aise, vous pouvez commencer à rouler. Il est recommandé de conduire pour la première fois dans un environnement calme et sécurisé, à l’abri de la circulation (zones sans voiture, zone piétonne si c’est autorisé, pistes cyclables, parking, allées…). Cela vous permettra de prendre vos marques et de gagner en stabilité. Aussi, n’hésitez pas à demander de l’aide à quelqu’un ayant de l’expérience. Il/Elle saura vous mettre à l’aise et vous montrer comment bien vous positionner, freiner ou prendre des virages serrés par exemple.

    Quoi qu’il en soit, commencez par rouler au pas et augmentez progressivement la vitesse jusqu’à ce que vous vous sentiez à l’aise. À noter que la vitesse maximum autorisée est de 25 km/h. Ensuite, vous pourrez vous insérer dans la circulation, en commençant par un trajet où le trafic n’est pas trop dense. N’oubliez pas les règles de base :

    • regardez toujours devant vous (ne regardez pas vos pieds !)
    • veillez à votre environnement et surveillez les autres usagers de la route (voitures, cyclistes…)
    • soyez particulièrement attentif aux piétons, qui peuvent surgir de nulle part et qui ne vous entendent pas forcément arriver sur votre trottinette.
    • respectez le Code de la route et les panneaux de signalisation/feux de circulation.
       
    • Lire aussi : Trottinettes électriques : comment contredire les haters* ?
       
    Trottinettes électriques : la sécurité avant tout !

    Bon à savoir

    La trottinette électrique fait partie des Engins de déplacement personnel motorisé (EDPM). À ce titre, l’assurance responsabilité civile est obligatoire, en cas d’accident avec une autre personne. Des garanties complémentaires existent et vous permettront d’être indemnisé en cas de vol ou de casse de votre trottinette.


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    Quels sont les équipements obligatoires pour rouler avec une trottinette électrique ?

    Comme les cyclistes, les motards ou encore les piétons, les utilisateurs de trottinette électrique sont considérés comme des usagers vulnérables car peu – ou pas – protégés dans la “jungle urbaine”. C’est pourquoi, le Code de la Route impose certains équipements pour rouler avec une trottinette électrique comme :

    • des feux avant et arrière ;
    • de dispositifs réfléchissants à l’avant et à l’arrière ;
    • un avertisseur sonore (klaxon) pour pouvoir prévenir en cas de danger ;
    • un système de freinage en bon état de fonctionnement ;
    • un gilet rétro-réfléchissant la nuit ou lorsque la visibilité est insuffisante.
       

    D’autres équipements ne sont pas obligatoires, néanmoins ils sont indispensables pour vous aider à rester en sécurité :

    Chiffre-clé

    Selon le dernier bilan de la sécurité routière, le nombre de blessés en trottinette, motorisé ou non, a augmenté de 120 %(2) entre 2019 et 2021, en agglomération.

    Bon à savoir

    Ce que dit la loi sur la trottinette électrique

    • Vous devez être âgé d’au moins 12 ans pour utiliser une trottinette électrique.
    • La vitesse est limitée à 25 km/h et une seule personne est autorisée par trottinette.
    • Les trottinettes électriques doivent circuler sur les pistes cyclables. En l’absence de pistes cyclables, il est autorisé de circuler sur les routes dont la vitesse maximale autorisée est de 50 km/h, et sur les aires piétonnes (à condition de rouler à une allure modérée (6km/h) et de ne pas gêner les piétons).
    • La circulation sur les trottoirs est interdite (sauf autorisation du maire). 
    • Concernant le stationnement, il est autorisé sur les trottoirs sous réserve de ne pas gêner les piétons (et sauf interdiction spéciale du maire).


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    Comment entretenir sa trottinette ?

    Comme pour n’importe quel moyen de transport (vélo, scooter, voiture…), il est important de veiller au bon entretien de votre trottinette électrique. Une défaillance électrique ou autres pannes mécaniques pourraient vous mettre en danger. Il est donc recommandé de faire un état général de votre trottinette au moins une fois par mois et de vérifier que tout est en état de fonctionnement avant chaque sortie. Cela va passer notamment par :

    • contrôler le bon fonctionnement de tous les éclairages et feux directionnels
    • vérifier que les freins fonctionnent correctement
    • tester le système de pliage de votre trottinette (ouverture / fermeture)
    • contrôler la pression des pneus et l’état des amortisseurs
    • vérifier l’état de la batterie

    De manière plus périodique, il est important de resserrer de temps en temps les vis et écrous pour votre confort et votre sécurité, mais également de nettoyer et lubrifier les différents éléments de votre trottinette électrique pour préserver ses performances et la protéger de la rouille et du gel. En cas de doute, n’hésitez pas à faire réparer votre trottinette électrique chez un réparateur spécialisé.

    Aussi, pour garder votre trottinette en bon état de fonctionnement le plus longtemps possible, il est recommandé de la stocker à l’abri de l’humidité et d’éviter de garder la batterie pendant une très longue période sans l’utiliser.

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    L’Essentiel de l’article

    • 900 000 trottinettes électriques vendues en France en 2021.
    • Les utilisateurs de trottinette électrique sont considérés comme des usagers vulnérables.
    • La sécurité en trottinette électrique passe – entre autres – par l’utilisation des bons équipements.

    (1) Fédération des professionnels de la micro mobilité (FP2M)

    (2) Observatoire national interministériel de la sécurité routière, Accidentalité routière 2021 – données provisoires au 31 janvier 2022

  • L’écomobilité, c’est quoi ?

    L’écomobilité, c’est quoi ?


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    L’écomobilité, qu’est-ce que c’est ?

    Aussi appelée “mobilité douce” ou “mobilité durable”, l’écomobilité désigne tous les modes de transport alternatifs respectueux de l’environnement. Cela inclut les transports publics, le covoiturage, la marche, le vélo, la trottinette, la voiture électrique… C’est une démarche qui a pour objectif de limiter l’impact des transports sur l’environnement en réduisant les émissions de gaz à effet de serre et la pollution atmosphérique. Au fil du temps, de plus en plus de villes mettent en place des offres de déplacements et des infrastructures favorables à l’écomobilité :

    • augmentation du nombre de pistes cyclables (17 500 km en 2019, soit une multiplication par 2,5 en 5 ans selon le Ministère de la transition écologique) ; – développement des zones de covoiturage ;
    • développement des services de transport en commun (bus, train, tram, métro…) ;
    • mise à disposition de vélos / trottinettes et autres mobilités douces en libre-service.

    Si les collectivités accélèrent la cadence côté écomobilité, les particuliers ont eux aussi changé progressivement leurs habitudes. Bien que la voiture reste le mode de transport personnel le plus utilisé (75 %)(2), de plus en plus de Français adoptent des modes de transport plus respectueux de l’environnement. En effet, près de 2,8 millions(3) de vélos ont été vendus en France en 2021. Les trottinettes électriques ont elles aussi rencontré un franc succès avec plus de 900 000(3) exemplaires vendus sur l’année. Les voitures hybrides ont également enregistré une hausse de 60,5 %(4) de leurs ventes la même année.

    L’écomobilité, c’est quoi ?

     


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    Quels sont les enjeux de l’écomobilité ?

    Les enjeux liés à l’écomobilité sont nombreux :

    • un enjeu environnemental : afin de tenir la stratégie Nationale Bas-Carbone, qui a pour objectif d’atteindre la neutralité carbone en 2050(5), il est nécessaire de réduire considérablement les gaz à effet de serre sur les prochaines années. Or, les transports représentent 31 %(1) des émissions de CO2 en France. En privilégiant l’écomobilité et donc les modes de transport émettant peu ou pas de gaz à effet de serre (tels que la marche, le vélo, les transports en commun, etc.), vous pouvez réduire votre empreinte carbone et lutter – à votre échelle – contre le réchauffement climatique.
       
    • un enjeu de santé publique : Les effets de la pollution de l’air extérieur sur la santé humaine ne sont plus à démontrer et provoquent environ 48 000 décès(6) chaque année en France. Il est donc primordial d’agir pour préserver la santé de tous. Aussi, le manque d’activité physique augmenterait de 20 à 30 %(7)les risques de décès. L’écomobilité pourrait donc être une réponse à ce phénomène de sédentarité, grâce à des modes de transports alternatifs doux comme la trottinette ou le vélo. Par exemple, faire 30 minutes de vélo par jour réduirait de 30 %(8) les risques de maladie. – un enjeu économique : D’après l’Insee, les Français dépensent en moyenne 13,6 % de leur revenu pour se déplacer. L’écomobilité est par définition écologique et économique. Si vous avez la possibilité de remplacer la voiture par le vélo, par exemple, notamment pour les courts trajets, vous pouvez réduire votre consommation de carburant et donc vos frais de transport. Une bonne option pour soulager votre budget !
       
    • Lire aussi : Le court-voiturage ou comment faire du covoiturage entre domicile et travail

    Le saviez-vous ?

    Pour favoriser l’écomobilité, un outil a été mis en place auprès des entreprises : le Plan de Mobilité employeur, autrefois appelée plan déplacement entreprise (PDE). Il permet aux entreprises de diminuer le nombre de déplacements en voiture individuelle et de favoriser les modes de transport alternatifs tels que le covoiturage (via la mise en place d’une plateforme de mise en relation des covoitureurs), les transports en commun (en remboursant le titre de transport au-delà des 50 % réglementaires), le vélo, etc.


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    Comment adopter l’écomobilité au quotidien ?

    Adopter une mobilité durable au quotidien passe par le fait de changer quelques-unes de vos habitudes. Vous pouvez ainsi :

    • Prendre les transports en commun plutôt que de prendre la voiture pour vous déplacer.
    • Faire du vélo ou marcher, surtout pour les courtes distances.
    • Utiliser les applications de covoiturage pour mutualiser le nombre de trajets en voiture.
    • Troquer votre voiture thermique pour un modèle hybride.
    • Privilégier les produits locaux et les circuits courts pour réduire les trajets en transport de vos biens (avion, camion, porte-conteneurs…)
       
    • Lire aussi : Quelles sont les technologies pour rouler vert ?

    Bon à savoir

    Depuis 2020, il existe un forfait “mobilités durables” pour les trajets domicile-entreprise. Il s’agit d’un abonnement mensuel qui permet aux utilisateurs de bénéficier d’un tarif préférentiel pour l’utilisation de modes de transport alternatifs aux voitures particulières, tels que les bus, les trains, les tramways et les vélos.

    L’Essentiel de l’article

    • L’écomobilité désigne tous les modes de transport alternatifs respectueux de l’environnement.
    • Les enjeux de l’écomobilité sont à la fois écologiques, économiques et de santé publique.
    • Des aides sont mises en place pour favoriser l’écomobilité au quotidien.

    (1) Notreenvironnement.gouv, Les émissions de gaz à effet de serre du secteur des transports

    (2) Ipsos, 48 % des Français reconnaissent que leur mode de déplacement quotidien n’est pas écologique, 2022

    (3) Union Sport & Cycle, Observatoire du Cycle 2021 – Résultats, 2022

    (4) L’Association des constructeurs (ACEA), 2022

    (5) Ministère de la transition écologique, Stratégie Nationale Bas-Carbone (SNBC), 2021

    (6) notre-environnement.gouv, Pollution de l’air extérieur et santé, 2019

    (7) OMS, Activité physique, 2020

    (8) sports.gouv, infographie

  • Comment bien se préparer au permis moto ?

    Comment bien se préparer au permis moto ?

    Symbole de liberté, apprendre à conduire une moto demande un peu de préparation en amont afin de choisir la formation la plus adaptée à ses besoins et son budget. On fait le point.


    1

    Quel permis moto passer ?

    Il existe trois catégories du permis moto : A1, A2 et A. Le permis A1 est destiné aux personnes souhaitant conduire un deux-roues dont la cylindrée n’excède pas 125 cm3, la puissance ne dépasse pas 11 kW et dont le rapport puissance/poids est inférieur à 0,1 kW par kilogramme. Les conditions à remplir ? Être âgé d’au moins 16 ans, avoir réussi l’épreuve théorique générale (code moto) et justifier d’un minimum de 20 heures de leçons, dont 8 sur piste et 12 sur route, pour apprendre à conduire un deux-roues en toute sécurité. Vous n’avez pas besoin du permis B (voiture), mais si vous l’avez déjà, vous pouvez obtenir plus rapidement votre permis A1 grâce à une formation par équivalence de 7 heures.

    Le permis A2 autorise à conduire une moto dont la puissance est limitée à 35 kW, dont le rapport puissance/poids est inférieur à 0,2 kW/kg et qui n’est pas issue d’un modèle développant plus de 70 kW. Pour passer cet examen, vous devez être âgé d’au moins 18 ans, avoir obtenu votre code moto et justifier d’un minimum de 20 heures de leçons, dont 8 sur piste et 12 sur route. Il n’est pas nécessaire d’avoir le permis B.

    Le permis A permet, lui, la conduite de n’importe quel véhicule à deux ou trois roues, quelle que soit sa puissance. Le candidat doit être titulaire du permis A2 depuis plus de 2 ans, et suivre une formation de 7 heures pour obtenir ce dernier.


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    Permis moto : quelle somme faut-il débourser ?

    Comme pour le permis voiture, le coût du permis moto peut varier en fonction de la moto-école que vous choisissez, et selon votre région. Avant de signer avec une moto-école, pensez à vérifier et comparer tout ce qui est ou non inclus dans le devis : frais de dossier, livret pédagogique, formation et présentation à l’examen au code de la route, formation et épreuve de conduite… Il faut prévoir en moyenne un budget entre 700 et 1 200 €(1). Généralement, les moto-écoles proposent un forfait incluant les 20 h de conduite obligatoires. Les heures supplémentaires de cours augmenteront le coût de votre permis.

    VOTRE ENFANT A ENTRE 15 ET 25 ANS ET SOUHAITE PASSER SON PERMIS MOTO ?

    Avec le crédit Permis à un euro par jour, il peut emprunter la somme nécessaire à sa formation initiale (de 600 à 1 200 €) qu’il rembourse au rythme de 30 € par mois (soit environ 1 € par jour)*.

     

    *Hors assurance facultative. La prise en charge des intérêts correspond au montant de votre emprunt et est intégralement assurée par l’État. Un crédit vous engage et doit être remboursé. Vérifiez vos capacités de remboursement avant de vous engager. La Macif agit en qualité d’Intermédiaire en opérations de banque et services de paiement pour le compte exclusif de Socram Banque. N° Orias 13005670 (orias.fr)


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    Quelles aides pour financer son permis moto ?

    Pour financer la préparation de votre permis moto, certaines collectivités territoriales proposent des aides, qui varient en fonction des régions et des départements. Renseignez-vous près de chez vous ! Vous pouvez aussi profiter du « Permis à 1€ par jour », qui est un prêt à taux zéro, accordé par un établissement de crédit partenaire, à un candidat entre 15 et 25 ans. Il permet de financer la formation en auto-école des permis A (moto), A1 (moto légère), A2 et B et les intérêts sont pris en charge par l’État.

    Certains constructeurs motos proposent également de rembourser votre permis de conduire si vous achetez une moto de la marque. Renseignez-vous directement auprès d’un vendeur pour connaître les offres promotionnelles !


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    Quel équipement prévoir pour rouler à moto ?

    Pour des raisons de sécurité, certains équipements individuels sont obligatoires selon le Code de la route : un casque de moto homologué (intégral de préférence pour plus de protection), des gants (certifiés CE), un gilet de haute visibilité à revêtir en cas d’accident ou de panne.

    Si le port d’un blouson ou d’un gilet airbag à moto n’est pas obligatoire en France, le jour du permis, il vous sera demandé de posséder une veste à manches longues munie de bandes réfléchissantes, ainsi que des chaussures couvrant les chevilles. Une tenue qu’il est d’ailleurs conseillé d’adopter tout au long de l’année pour vous protéger des chocs et de l’abrasion.

    VOUS SOUHAITEZ ACHETER UN DEUX-ROUES ?

    Avec son crédit auto/moto, la Macif vous accompagne dans votre projet.*

     

    *Un crédit vous engage et doit être remboursé. Vérifiez vos capacités de remboursement avant de vous engager. Organisme prêteur : Socram Banque. La Macif agit en qualité d’Intermédiaire en opérations de banque et en services de paiement pour le compte exclusif de Socram Banque. N° Orias 13005670 (www.orias.fr)

    L’Essentiel de l’article

    • Il existe trois catégories de permis moto : A1, A2 et A.
    • Le Permis à 1 euro permet de financer son permis moto.
    • Pensez aux équipements de protection pour rouler en sécurité.

    (1) Prix moyen constaté en mars 2022 sur 5 moto-écoles (Paris et Province)

  • Comment protéger son pare-brise des intempéries ?

    Comment protéger son pare-brise des intempéries ?

    Circuler au volant d’un véhicule dont le pare-brise n’est pas bien nettoyé et entretenu est dangereux. C’est votre sécurité et celle des autres qui est en jeu, car le manque de visibilité engendre un risque accru d’accident.


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    Comment préserver votre pare-brise du gel ?

    Quand les températures chutent, et que la voiture passe la nuit à l’extérieur, il est fréquent de retrouver au petit matin une couche de givre sur le pare-brise de votre auto. Premier réflexe à avoir la veille au soir : recouvrir systématiquement votre pare-brise d’une bâche anti-givre. Vous pouvez aussi le protéger à l’aide d’un grand carton, de vieux draps ou de journaux. Vous ne disposez pas de couverture de protection ? Pensez alors à relever vos essuie-glaces le soir, pour éviter qu’ils ne collent au pare-brise avec le gel et s’abîment. Il existe aussi des produits lave-glace spécial hiver, résistant à des températures de -20 °C au minimum !

    Enfin, quelques astuces de grand-mère se révèlent aussi efficaces. Par exemple, vaporisez un mélange d‘eau et de vinaigre blanc sur l’ensemble des vitres de votre véhicule (mais pas les joints d’étanchéité car ce mélange s’avère corrosif pour le caoutchouc) ou frottez votre pare-brise à l’aide d’un demi-oignon ou d’une demi-pomme de terre afin de déposer une fine pellicule protectrice contre le gel.

    Si vous n’avez pas pu protéger votre véhicule la nuit, dégivrez votre pare-brise à l’aide d’un gratte-givre de qualité, avec un embout souple pour éviter les rayures.

    Bon à savoir

    Pare-brise et eau chaude ne font pas bon ménage !

    Attention, ne versez surtout pas d’eau chaude sur votre pare-brise gelé. Le choc thermique risque de le fissurer ou de le faire éclater.


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    Comment protéger votre pare-brise en cas de mauvais temps ?

    Pour protéger votre voiture des intempéries, à moins de la garer dans un garage ou sous un parking couvert, quelques précautions sont nécessaires. Par temps de pluie, pensez à appliquer un produit déperlant et un spray anti-buée sur votre pare-brise pour améliorer la visibilité durant la conduite. Vous pouvez également utiliser la fonction désembuage de votre véhicule, couplée avec la climatisation sur l’air froid pour gagner du temps. Privilégiez toujours la position “recyclage air extérieur” pour augmenter l’humidité de l’air intérieur.

    En cas de grêle ou d’orage, vous pouvez couvrir votre véhicule d’une housse de protection ou d’un filet anti-grêle pour éviter les chocs sur la carrosserie. En dernier recours, du papier bulle, quelques vieux cartons ou des couvertures peuvent permettre d’amortir les chocs. L’important est de toujours veiller à bien fixer les protections sur votre pare-brise, pour éviter que le vent ne les emporte.

    UNE VOITURE À ASSURER ?

    Optez pour l’assurance Auto de la Macif pour être couvert en cas de panne ou accident !


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    Comment protéger votre pare-brise des fortes chaleurs ?

    En été, votre voiture peut se transformer en un véritable four. Sans compter que la chaleur extérieure et la climatisation intérieure mettent votre pare-prise sous tension, le fragilisent et augmentent le risque de fissures. Pour éviter la surchauffe de votre voiture, il est important de mettre des pare-soleil sur votre pare-brise et les vitres latérales, qui se fixent facilement à l’aide de ventouses ou de pattes de fixation selon les modèles.

    Vous pouvez également opter pour un produit lave-vitre spécial été. Conçu pour nettoyer votre pare-brise, il est enrichi d’un répulsif à moustiques et facilite la disparition des traces laissées par les impacts d’insectes sur vos vitres.

    L’Essentiel de l’article

    • Le gratte-givre est un outil indispensable.
    • Privilégiez un lave-glace adapté aux basses températures.
    • Protégez votre pare-brise à l’aide d’une bâche ou d’un pare-soleil.
    • Nettoyez votre pare-brise avec un chiffon en microfibres.
  • 4 astuces pour éviter le vol de son vélo

    4 astuces pour éviter le vol de son vélo

    Le vélo est une solution de mobilité alternative à la fois pratique, économique et durable. Mais pour éviter de se le faire voler, quelques précautions sont à prendre.


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    Attachez toujours votre vélo… à un point fixe !

    La première règle à appliquer pour éviter de se faire dérober son vélo, c’est de l’attacher. Même pour un arrêt de quelques minutes, même dans un endroit fréquenté ou en intérieur ! Car il suffit de quelques secondes pour qu’un voleur n’enfourche votre deux-roues et se fasse la malle avec.

    Mais pour garantir la sécurité de votre vélo, il ne suffit pas simplement de l’attacher… Il convient surtout de choisir un point fixe comme un poteau, un réverbère, un panneau de signalisation, etc. Privilégiez ceux avec une hauteur importante (plus de 2 m) pour éviter aux voleurs de pouvoir le faire glisser par le haut. Préférez également les supports robustes, comme une barrière épaisse en fer par exemple, car certains voleurs pourraient être tentés de les scier.

    Bon à savoir :

    Lorsque vous stationnez votre deux-roues, pensez à emporter avec vous tous les accessoires amovibles qui pourraient être facilement dérobés : la selle, le compteur, les lampes ou encore la batterie sur les vélos électriques.


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    Choisissez un antivol aux normes

    Pour une protection maximale de votre monture, optez pour un antivol adapté. Fuyez les modèles bas de gamme, constitués d’un câble entouré de plastique, qui peuvent être forcés en quelques secondes. Privilégiez les modèles en U, qui résistent plus longtemps au sciage. Pour une sécurité optimale, vous pouvez utiliser plusieurs antivols en attachant les roues et le cadre… ce qui donnera du fil à retordre aux voleurs.

    Il existe également des antivols avec alarme, qui se déclenche en cas de tentative de vol pour faire fuir le voleur. Vous pouvez aussi installer un traceur GPS (avec ou sans carte sim intégrée) sur le guidon ou sous la selle de votre vélo, pour le géolocaliser en cas de vol et pouvoir alerter rapidement les forces de l’ordre.


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    Laissez votre vélo dans un lieu passant

    Pour attacher votre bicyclette, oubliez les impasses et rues désertes, à l’abri des regards. Privilégiez les lieux où il y a du passage et les endroits éclairés. Si vous trouvez un endroit avec des caméras de surveillance, c’est encore mieux. Cela peut dissuader les voleurs de s’attaquer à votre deux-roues !

    VOUS CIRCULEZ À VÉLO ?

    La Macif propose une assurance vélo grâce à l’option « bicyclette(s) » de son contrat d’assurance habitation. Roulez l’esprit tranquille !


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    Faites marquer votre vélo

    Depuis le 1er janvier 2021, les vélos (pour adultes) vendus neufs par des commerçants font l’objet d’un marquage, c’est-à-dire qu’un numéro unique est gravé sur le cadre du vélo et référencé dans un fichier national. Objectifs ? Permettre la restitution du vélo au propriétaire en cas de vol, lutter contre le recel et la revente illicite. Cette obligation est étendue aux vélos d’occasion vendus par des professionnels depuis le 1er juillet 2021.

    Pour faire marquer votre ancien vélo, il suffit de vous rendre chez l’un des 6 opérateurs de marquage agréés, muni de la facture d’achat et d’une pièce d’identité. Votre boutique de sport habituelle peut vous aiguiller vers l’opérateur le plus proche de chez vous. À l’issue de l’opération, qui coûte entre 5 et 10 euros, vous devrez vous enregistrer en tant que propriétaire dans la base de données en ligne grâce au numéro présent sur votre vélo.

    4 astuces pour éviter le vol de son vélo

     

    L’Essentiel de l’article

    • Attachez votre vélo à un point fixe, arrimé au sol, dans un lieu passant.
    • Utilisez un antivol performant.
    • Faites marquer votre vélo pour l’inscrire dans le fichier national.

    (1) Enquête CVS, 2019

  • 4 conseils pour faire du vélo en hiver en toute sécurité

    4 conseils pour faire du vélo en hiver en toute sécurité

    Se déplacer à vélo pour aller au travail ou pour effectuer les trajets du quotidien… c’est agréable ! Une alternative efficace aux transports en commun et aux difficultés pour stationner sa voiture. Mais pour circuler à vélo en toute sécurité en hiver, il convient d’adopter les bons gestes.


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    Préparez votre vélo pour l’hiver

    Pensez à entretenir votre vélo en le nettoyant régulièrement. Cela permettra de prolonger sa durée de vie et de maintenir son bon fonctionnement. Mouillez-le avec un tuyau d’arrosage, le jet pression d’une station-service (avec la pression la plus faible) ou avec une bassine d’eau. Puis, vaporisez dessus un produit nettoyant et frottez avec une brosse spéciale vélo (vendue en magasin de sport) ou une éponge pour éliminer les saletés. Rincez votre vélo et séchez-le avec un chiffon.

    Une fois propre, veillez à lubrifier les différents composants de votre vélo avec un produit spécifique pour les conditions extrêmes et humides. La chaîne, les gaines de freins, la tige de la selle… Cela permettra de préserver ses performances, de le protéger de la rouille et du gel afin de vous assurer une meilleure sécurité. Vous utilisez votre vélo tous les jours ? Renouvelez la lubrification tous les quinze jours.

    Pensez également à équiper votre vélo d’un garde-boue, au-dessus des roues, pour le protéger de l’eau, de la pluie et de la neige. En cas de grand froid, gardez toujours à portée de main un liquide pour dégivrer la serrure de votre cadenas ou antivol.


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    Installez un éclairage puissant

    Installer un bon éclairage sur votre vélo est primordial ! Plus encore en hiver où la luminosité est faible et où la nuit tombe vite. C’est d’ailleurs un équipement de sécurité obligatoire. Le Code de la Route impose aux cyclistes qui roulent la nuit d’être équipés d’un phare avant (blanc ou jaune) et d’un phare arrière rouge. Ils doivent également installer des catadioptres (un blanc à l’avant, un rouge à l’arrière), très utiles pour refléter les phares des véhicules, ainsi que des réflecteurs sous les pédales et sur les roues.

    Préférez des lumières puissantes comme les phares à LED blanches (3 W), plus efficaces. Pour être encore plus visible, équipez-vous également d’accessoires réfléchissants (gilet, brassard…)


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    Contrôlez régulièrement la pression et l’usure de vos pneus

    Des pneus usés perdent en adhérence, peuvent crever et augmentent le risque de chute. Pensez donc à contrôler régulièrement la pression de vos pneus (elle correspond en général à 10 % du poids du cycliste), mais aussi le niveau d’usure de la bande de roulement, cette partie qui vient contre le sol, et le flanc du pneu. En hiver, optez pour des pneus adaptés aux intempéries, avec une gomme offrant plus d’accroche sous la pluie.


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    Adaptez votre conduite aux routes glissantes

    Pour pédaler en hiver en toute sécurité, roulez plus lentement que le reste de l’année. Côté freinage, préférez mettre un pied à terre en cas de freinage brusque et privilégiez le freinage arrière, qui est plus sûr. Enfin, évitez les sorties longues de plus d’une heure par grand froid, et compensez par des sorties plus fréquentes.

    Le saviez-vous ?

    Vélo électrique et froid ne font pas bon ménage !

    La batterie d’un vélo électrique se décharge environ 20 à 30 % plus vite que d’habitude lorsqu’il fait moins de 0 °C. Pensez donc à la rentrer chez vous ou protégez-la d’une housse de protection.

    ASSUREZ VOTRE VÉLO AVEC LA MACIF !

    L’assurance Habitation formule Protectrice bénéficie d’une option couvrant votre vélo en cas de vol par exemple. Renseignez-vous !

    L’Essentiel de l’article

    • Lubrifiez les différents composants de votre vélo pour le protéger du gel.
    • Équipez-vous de phares à LED blanches puissantes pour voir et être vu.
    • Surveillez l’état de vos pneus afin d’éviter la chute.
    • Modérez votre allure et privilégiez les sorties courtes pour vous préserver du froid.